jeudi 23 janvier 2014

Le système de circuits vitaux de la Terre par Alain Boudet...Part.5


Les flux et le terrain En Angleterre dans les années 1950, Guy Underwood (livre The pattern of the past) étudie par radiesthésie la configuration des flux énergétiques dans les sites sacrés. Il en détecte sous les monuments mégalithiques, dans les collines, les ouvrages en terre, les églises. Il découvre que les structures préhistoriques physiques sont la transposition des courants magnétiques souterrains. Par exemple, les menhirs sont implantés sur le passage de courants d'eau souterrains ou sur une faille géologique. Parallèlement ou par la suite, d'autres personnes ont amplifié ces études, précisé les liens entre les courants d'eau, les failles, et les courants d'énergie et étendu leurs recherches aux monuments religieux. Ils relient les courants à des influences magnétiques et électriques (voir en annexe: Nature physique des flux). Certains remarquent que le bétail est attiré par les cercles de pierre ou les tumulus. Les oiseaux migrateurs et les fourmis suivent les lignes de courant dans leurs déplacements. Parmi ces pionniers zélés, je cite entre autres, en Angleterre, Paul Devereux (Spirit Roads: Exploring Otherworldly Routes in the Old and New Worlds); aux États-Unis, Terry Ross, Sig Lonegren (Spiritual Dowsing); en France, Henry Quiquandon, Georges Prat (Architecture invisible). Certaines constructions sacrées ne sont pas forcément positionnées sur un flux dès l'origine. Il se peut que leur implantation ait modifié, modelé ou déterminé la localisation et le débit de ces courants, probablement intentionnellement. Une indication en faveur de ceci se trouve à Stonehenge, où des pierres sont tombées hors de leur position d'origine. Le flux a suivi ces pierres. Flux énergétiques autour du menhir de Bidon en Ardèche: courants d'eau (en bleu), failles géologiques (en mauve) et flux sacrés (en orange). En jaune, l'entrée énergétique du menhir. Extrait de: Architecture invisible © G. Prat Georges Prat Deux triangles sacrés selon G. Prat: Chartres, pyramide de Khéops, Arles Chartres, Istamboul, Szczecin Carte Google Earth adaptée par A. Boudet Configurations géométriques des flux Georges Prat, géobiologue et architecte français, raconte qu'un jour en étudiant sur un terrain un courant vibratoire d'un niveau étonnamment élevé, il a constaté que ce courant de 40 cm de largeur se prolongeait dans chaque sens vers deux églises anciennes et les unissait, et cette découverte a été à l'origine de sa recherche des flux qui relient les sites sacrés. En suivant les flux d'énergie sur tout un territoire, on peut découvrir la carte de leur réseau. Les flux relient d'autres sites sacrés en ligne droite (églises anciennes, lieux de culte romains, mégalithes), traversent des territoires sans perdre de leur intensité, parfois sur de très longues distances, formant toute une toile d'araignée. Nous retrouvons donc là sur le plan énergétique la confirmation de ce que nous avons découvert plus haut avec les alignements géométriques. Poursuivant ses recherches, Prat remarque dans cette toile certains triangles sacrés qui rassemblent trois hauts-lieux de vibration analogue. Ainsi, un de ces triangles est constitué de Chartres, de Khéops en Égypte, et d'Arles; un autre de Chartres, de Khéops, et d'Istamboul en Turquie; un troisième de Chartres, d'Istamboul, et de Szczecin en Pologne. Les vortex Les courants d'énergie ne s'écoulent pas seulement dans le sens horizontal. Dans la direction verticale, se trouvent des colonnes énergétiques nommées vortex. Certaines personne les voient, d'autres les sentent quand elles sont placées dedans. Les radiesthésistes détectent facilement les vortex. Ce sont des flux d'énergie ascendante et descendante, qui circulent en tourbillonnant, des spirales d'énergie (voir article Spirales et hélices). Les vortex sont généralement situés aux intersections de flux horizontaux majeurs. Il en existe d'autres qui sont créés par des éléments naturels du paysage (volcans, montagnes pyramidales ou coniques, confluents de rivières, chutes d'eau), ou par la présence de gisements minéraux volumineux dans le sous-sol. Il en existe aussi qui sont créés par la présence d'une construction humaine (temple) établie selon les principes de la géométrie sacrée. Lorsqu'on séjourne un moment au cour de ces vortex, et selon leur intensité, on peut ressentir leur présence par des effets spéciaux sur le corps et l'esprit. Certains nous mettent dans des états mentaux étranges, du genre: impression d'être ailleurs, comme en rêve. Ou bien on a des vertiges. Perturbations gravitationnelles Quelques-uns de ces vortex sont célèbres pour les anomalies de leur champ gravitationnel, comme par exemple le vortex de l'Oregon et le vortex de Marysburgh aux États-Unis. Les anomalies gravitationnelles du vortex de Marysburgh (partie est du Lac Ontario - coordonnées géodésiques 44° 4' 21'' N, 76° 46' 8'' W) ont été étudiés scientifiquement par un ingénieur canadien, Wilbert Smith (Project Magnet). Il a mesuré que les colonnes du vortex ont un diamètre d'environ 300 m et une hauteur de plusieurs km. Leur localisation est un peu fluctuante. Son projet a été arrêté quand il est devenu évident qu'il abordait des sujets trop sensibles que les gouvernements ne veulent pas révéler, tels que des renseignements sur les vols des OVNIs. Selon les rapports des agences de transports et d'assurance établis pendant l'époque des goélettes et des premiers voyages par bateau à vapeur, les 2/3 des naufrages sur le Lac Ontario se sont produits dans la zone du vortex. On peut citer les naufrages du Quinlanwith en 1883, du Bavaria en 1889, du George A. Marshen 1917, du Star of Suez en 1964. D'autres accidents sont des disparitions pures et simples de bateaux avec leur équipage, souvent associée à la présence d'un brouillard inhabituel. Ces descriptions font penser à une autre zone célèbre pour ses naufrages et disparition de bateaux et d'avions, le triangle des Bermudes. De même que le triangle des Bermudes, le vortex de Marysburgh présente des anomalies magnétiques et électriques. Les boussoles n'indiquent pas de direction fixe. Des OVNIs y sont fréquemment signalés, y compris des véhicules sous-marins. Les effets catastrophiques des anomalies magnétiques et gravitationnelles des vortex n'ont heureusement rien d'obligatoire. D'autres fois, elles produisent des phénomènes amusants. Dans le vortex situé en Oregon (USA - 42° 29' 35'' N, 123° 5' 7'' W), on invite les visiteurs à expérimenter des anomalies de perception visuelle et de poids. On y perd la notion de taille et on peut se pencher en avant anormalement. Un autre endroit curieux est Coral Castle en Floride (USA). Il a été créé et habité un temps par un homme nommé Edward Leedskalnin, architecte et sculpteur né en 1887 en Lettonie et mort en 1951 en Floride. De petit poids (40 kg environ), il a manié, découpé, déplacé, sculpté des blocs de pierre dont le poids peut atteindre une tonne. En 28 ans, la nuit, seul à l'abri des regards, il a bâti une sorte de château. Il est possible qu'il ait eu recours à l'antigravité ou à l'utilisation d'ondes sonores, car il a déclaré qu'il avait percé le secret de la construction des pyramides égyptiennes. R. Clark pense que cela a été possible parce que Leedskalnin a choisi de s'installer sur un vortex. Le système de flux de la Terre Rassemblons brièvement tout les morceaux du puzzle que nous venons de récolter concernant les alignements de sites sacrés. Des courants d'énergie circulent à travers la terre et l'irriguent comme une toile d'araignée. Ils semblent de deux sortes. Certains, comme les veines du Dragon, serpentent dans le paysage, souvent liés à des courants d'eau souterrains ou des failles géologiques. D'autres comme les lignes de leys, les flux sacrés, vont en ligne droite et relient de nombreux sites sacrés (pierres, sources, ouvrages de terre, cromlechs, églises).

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