dimanche 31 janvier 2016

Reveillons-nous!!



                                          https://www.youtube.com/watch?v=IAZAr0_51ys

jeudi 28 janvier 2016

Viols à Cologne... sur les traces de nos élus




En réponse à
https://www.youtube.com/watch?v=Ig9XSxqeLsc

Jusqu'où va aller la démagogie de nos dirigeants?
Même si je m'interdis d'être d'accord avec un reportage de youtube qui préconise la pendaison pour les coupables, je dois admettre que le sujet est en effet beaucoup plus complexe que ne parait ce "simple" fait divers. Oui, j'ironise un peu, le viol étant le pain quotidien des risques encourus par la gente féminine en général.
D'accord, ce sont généralement des hommes "frustrés" qui agissent de la sorte, mais je ne crois pas que cela soit dû essentiellement aux sociétés dans laquelle ils grandissent; ou si, justement, mais alors parlons de toutes les sociétés! Nous savons tout et mieux que personne, étant de l'occident; nous donnons depuis tant d'années la leçon au reste du monde sur le comment se comporter, comment penser, comment "être en paix".
Notre société du XXIe siècle n'est cependant pas paritaire et il y a dans nos prisons civilisées quelques violeurs ça et là. Alors, devons-nous jeter la pierre? et si oui, à qui? aux violeurs?
c'est comme guérir une maladie en assenant les symptômes de médocs! tant que l'on ne s’intéressera pas au fond du problème, ces symptômes ressurgiront. Toujours facile de chercher la paille du voisin, plus dure de prendre certaines responsabilités.
L'ère de la pornographie, de l'apologie des pratiques libertines et de la libération des excès sexuels nous donnent-ils le droit de juger un autre peuple parce que sa compréhension est tout bonnement plus archaïque? Devons-nous nous sentir offensés lorsque des viols, mais aussi des meurtres sont commis sur "nos" sols, alors que chaque jour (j'en suis certain) sur des terres oubliées, d'autres subissent des actes de torture loin des témoignages médiatiques? Devons-nous oublier les attitudes de "nos" prêtres, de "nos" conquistadors, de "nos" croisés, de "nos" soldats?
Nous devons avant tout comprendre que la vie est un miroir et que le monde ne peut changer si nous ne sommes pas en mesure de changer nos attitudes, ou du moins d'être responsables.
Nous sommes les bons et ce sont les méchants? C'est cela que nous nous efforçons de penser, afin de nous conforter avec nos mentalités et  de nous en contenter! La vérité?!!  Il  faut l'affronter et ça fait mal! et si certain attendent d'elle qu'elle nous ménage, ils peuvent toujours attendre! Les médias n'en parleront jamais, d'abord parce qu'une fois informés, nous serions libres, mais aussi parce qu'ils sont également accessoirisés par des moutons conditionnés à croire que ce qu'ils propagent EST la réalité.
Il n'y a finalement que nos petits problèmes quotidiens qui nous préoccupent, n'est-ce pas? Cologne est proche, à quelques kilomètres de Strasbourg, merde, à nos portes! Les centaines de personnes que "nos" gouvernements bienveillants ont bombardé, bousillé, violé (puisque c'est le mot qui est à la mode en ce moment) depuis des années maintenant, qui (du côté des bons) s'en souci?
Ce reportage en question soulignait le viol comme l'attitude de conquérants sur la nouvelle terre...Cela, désolé, mon cher, mais ça nous est réservé!
Le cerveau de ces réfugiés (que vous semblez avoir de la peine à voir comme tels) sont ceux d'un peuple aussi manipulé que le notre, mais pas de la même façon. L'occasion fait le larron, libérés de la pression de leur religion, de leur autorité, de leur famille, les malfaisants s'abandonnent à leurs phantasmes, qui peut être, d'accord, celui de "se faire une femme blanche", mais combien de jeunes voyous "bien de chez nous" n'ont pas celui de se faire une arabe? une noire? une asiatique? Combien de femmes violées se taisent pour être d'ici, parce que leur réputation en serait à jamais ternie?
A en croire les médias, on en arriverait à croire en un fléau venu de l'extérieur lorsque peut-être, devrions-nous nous interroger sur les vrais raisons et les vrais causes de ces incidents. Ce que je suis en mesure d'affirmer, c'est que tant que la sexualité ne sera pas comprise (détachée de son faux-semblant pornographique), tant que  les méchants de chez nous nous ferons croire en notre responsabilité de l'état du monde, nous aurons droit à des réactions qui seront de nature à nous interroger sur la santé de TOUS nos systèmes, TOUTES nos sociétés.
Le Monde va mal...vous sembliez surpris? Non, je vous rassure, il va mal, et depuis bien longtemps avant que des femmes "biens de chez nous" se font violées.
Quand arrêterons nous de croire dans les mensonges de nos gouvernants? maintenant? Ou allons-nous encore attendre encore un peu?
Ne nous est-il pas permis de penser que ce que nous subissons n'est qu'un revers de la médaille du "bien" que nous semons ça et là de part le monde? ne nous est-il pas permis de douter du bienfait de nos "maitres" qui n'ont en tête que de créer la discorde entre nous, gentes de bonnes fois, de bons sens mais de si peu de courage? Allons, "diviser pour mieux régner "n'est pourtant pas une formule nouvelle et il serait temps que nous comprenions ce qu'elle signifie, en réalité!
Alors plus que la haine envers des sociétés lointaines, ayons le courage de nous débarrasser de ceux qui créent tous ces malentendus depuis leur fauteuil confortable, à l'abri de la rue et des bombes et qui nous "incitent" à travers leurs médias corrompus jusqu'à la moelle, à trouver d'autres responsables qui ne sont finalement pas moins conditionnés, abétisés, diabolisés par leur politique mondialiste et élitiste et leur TV, que nous le sommes.






dimanche 24 janvier 2016

Les Kurdes en Pâture ...encore une fois!



Et ça continue, les Etats-Unis confortent leur posture et leur image malgré le scandale qui aurait dû les frapper de plein fouet. Je savais les téléspectateurs moutons mais pas amnésiques!
Je le répète, Vladimir Putin a lâché le morceau: le gouvernement turc participe activement au traffic de pétrole avec Daesh avec la bénédiction de l'Otan par dessus le marché... Ce qui explique pourquoi, après plus de 15 mois de présence, aucun bombardement américain n'a eu lieu...alors que l'URSS, aprés seulement quelques jours avait trouvé les positions des raffineries, soient disant "introuvables".
Anguilles sous roche, non?
Les attentats d'Istambul n'ont été que de la poudre aux yeux pour détourner le regard du public manipulé de l'implication des turcs dans ce qui devrait être un des scandales de l'époque...
Et on en remet une couche ce 23 Janvier avec Joe Biden ( CFR et Bieldeberg) qui prend position pour Ankara et contre le PKK. Le PKK est de nouveau pris en otage par qui en a besoin. Depuis la guerre contre la Syrie, il était l'allié idéal dans  la lutte de l'Otan contre Daesh pour sa connaissance du terrain et sa force armée; en contre partie l'Otan devait aider les kurdes a obtenir leur autonomie ou tout au moins la reconnaissance de leur existence. He bien non, désolé Peuple Kurdes, encore une fois, vous ne faites pas le poids sur la balance internationale et  vous devrez attendre une autre occasion ...d'autant plus que vous arrivez à point pour faire briller l'image turque, beaucoup trop ternie, récemment.Comprenez-les, leur promesse n'a aucune valeur en comparaison avec ce qui est en jeu. Ouf! Erdogan aura eu chaud!
Retournez jouer dans vos cours et laissez jouer les grands joueurs! retournez à vos tracas quotidiens, cela n'était qu'un leurre ( parmi tant d'autres) orchestré par "nos" amis américains.
Attention Erdogan, le prochain attentat dans une de tes villes risquent fort d'être réellement kurde, cette fois!



jeudi 21 janvier 2016

Putin: «Pour discuter des affaires européennes, il faut aller aux Etats-Unis»



Dans une interview à la chaîne suisse RTS, Vladimir Poutine a une nouvelle fois appelé les pays européens à montrer plus d’indépendance par rapport aux Etats-Unis.
Monsieur le Président, bonsoir. Merci beaucoup de nous accorder du temps pour cet entretien.
Vladimir Poutine, président russe (V.P.) : (répondant en français) : Bonsoir.

Nous sommes actuellement à Saint-Pétersbourg à l'occasion de la cérémonie du tirage au sort de la Coupe du Monde de football 2018, qui se tiendra en Russie et à laquelle vous consacrez beaucoup de votre énergie.
V.P. : Oui c'est juste. Ce dont je vous félicite ainsi que nous-mêmes.
Je vais être franc. En vérité, et ce n'est pas une révélation, nous n'avons pas d'ambitions particulières dans ce futur championnat, même si nous attendons de notre équipe qu’elle fasse bonne figure.
Quant à l'organisation de ce tournoi, notre but est conforme aux objectifs de la FIFA, précisément, à celui d'élargir la géographie de football. Sans parler du fait que la Russie est un très grand pays : le plus vaste au monde et le plus peuplé d'Europe.
De plus, nous avons un régime de libre circulation sans visa, avec presque toutes les anciennes républiques de l'Union Soviétique (qui sont actuellement des États indépendants). C’est pourquoi cet évènement sera important non seulement pour la Russie, mais aussi pour tous nos voisins les plus proches.
Vous êtes un ami de monsieur Blatter, vous lui avez témoigné votre soutien.
V.P. : On ne se connaissait pas avant de soumettre notre candidature pour l’organisation de la Coupe du Monde 2018. Au cours de ce travail commun nous avons eu beaucoup d'entretiens avec les représentants du comité exécutif de la FIFA, avec les commissions qui visitaient notre pays et avec monsieur Blatter lui-même. Nous sommes restés en très bons termes, tant professionnels que personnels.
En ce qui concerne le procès qui a lieu actuellement en Suisse, pensez-vous que les États-Unis y soient impliqués d'une certaine manière ?
V. P. : Les États-Unis, pour autant que je sache, étaient parmi les candidats à l’organisation de la Coupe du Monde 2022.
Croyez-vous que c’est une vengeance de leur part ?
V. P. : Je n'ai pas fini... Alors que leur allié européen le plus proche – la Grande Bretagne – avait déposé sa candidature pour 2018. Et la manière dont se présente cette lutte contre la corruption, me fait penser qu'il ne s'agit que d'une suite de la compétition pour 2018 et 2022.
Personne n’est opposé à la lutte contre la corruption, au contraire. Et je pense même que cette lutte doit être encore plus résolue. Mais il existe des normes juridiques internationales selon lesquelles, lorsqu’on soupçonne quelqu’un d’être en infraction avec la loi, des données doivent être collectées et transférées au parquet du pays dont le citoyen a violé la loi. Et cela n'a rien à voir avec la méthode selon laquelle un pays débarque n’importe où dans le monde, interpelle qui bon lui semble et le traîne dans l'une de ses prisons. Je trouve cela inadmissible.
Mais je le répète : cela ne signifie pas qu'il faut renoncer à lutter contre la corruption.
Monsieur le Président, une question assez importante pour vous et les USA. Les actions initiées dans le cadre des événements à la FIFA, signifient-elles, selon vous, le retour à une certaine forme de politique impérialiste des États-Unis ?
V. P. : Un retour ? Cela fait longtemps qu'une telle politique est menée. Il ne s'agit que de son intensification. Je l’ai souvent dit publiquement et je ne suis pas seul à le dire. Aux États-Unis, des commentateurs politiques disent les mêmes choses et emploient les mêmes termes. Ces spécialistes américains de la politique extérieure et intérieure considèrent que ce penchant impérialiste ne fait que nuire aux États-Unis eux-mêmes.
Cette position n'est pas de l'anti-américanisme. Nous respectons et apprécions beaucoup les États-Unis et surtout le peuple américain. Je trouve seulement que ces actions unilatérales, ainsi que l'extension de la juridiction d'un État au-delà des ses propres frontières, à l'échelle mondiale, sont inadmissibles et destructrices pour les relations internationales.
L'opinion des pays occidentaux concernant votre personnalité est partagée. Comme vous le savez, certains vous admirent, d'autres vous critiquent. Quand vous avez évoqué l'arsenal nucléaire dans vos discours, nombreux sont ceux qui y ont vu une menace.
V. P. : Les gens qui disent cela sont soit malhonnêtes, soit inattentifs. La nouvelle course aux armements a commencé quand les États-Unis ont opéré un retrait unilatéral du Traité anti-missiles balistiques. En effet, cet accord était la pierre angulaire du système de sécurité globale. Et quand les États-Unis s’en sont retirés et ont lancé la création d'un système antimissile comme partie de leur système global d’armes stratégiques, nous avons tout de suite dit que nous serions obligés de prendre des mesures en réaction, pour maintenir l'équilibre.
Je veux dire une chose très importante : nous le faisons pour nous-mêmes, pour la sécurité de la Fédération de Russie, mais aussi pour le monde entier, car c’est la stabilité stratégique qui est en jeu et elle est assurée par un équilibre des forces.
Nous nous trouvons à Saint-Pétersbourg, ville qui a beaucoup souffert de la guerre. A ce que je sais, vos grands-parents ont justement vécu...
V.P. : C'étaient mes parents. Mon frère est mort ici pendant le siège, je ne l'ai jamais vu.
Une nouvelle guerre en Europe est-elle possible ?
V.P : J’espère que non. Mais il faudrait que l’Europe manifeste davantage son indépendance et sa souveraineté et qu’elle soit capable de défendre ses intérêts internationaux, les intérêts de ses peuples et de ses pays.
L’équilibre stratégique, c’est ce qui a garanti la paix dans le monde et n’a pas permis aux grands conflits militaires d’éclater en Europe et dans le monde entier. Et quand les Etats-Unis sont sortis de l’accord, ils ont dit : nous créons un système antimissile, pas contre vous, nous voulons développer notre force de frappe, faites ce que vous voulez, nous partons du principe que ce n’est pas contre vous.
Nous faisons ce que nous avons toujours dit. Le système global de défense antimissile coûte cher. Et on ne sait toujours pas aujourd’hui dans quelle mesure il est efficace. Nous développons des systèmes de frappe capables de surmonter n’importe quel système de défense antimissile. Ce que j’ai annoncé il n’y a pas longtemps est dans nos plans depuis quelques années. Cela avait été annoncé il y a longtemps.
Vous avez dit que vous voudriez que l’Europe soit plus indépendante. Par exemple, en ce qui concerne l’Europe de l’époque de de Gaulle, de Mitterrand. Quelle est votre attitude envers ce qui se passe sur ce plan ?
V.P. : Je finis quand même la question précédente.
Toutes nos actions dans le domaine de la défense stratégique sont tout à fait conformes aux obligations internationales russes, notamment dans le cadre de l’accord avec les Etats-Unis sur l’armement stratégique.
Maintenant à propos de la souveraineté. L’adhésion à toute organisation politico-militaire, à un bloc politico-militaire, implique un refus volontaire à une certaine partie de sa souveraineté.
Je pense que la France est sortie de l’organisation militaire de l’Otan à l’époque afin de garder sa souveraineté dans le cadre du bloc militaire. Analyser la politique extérieure des pays européens n’est pas notre affaire. Mais convenez que si nous devons discuter des affaires européennes avec les partenaires européens à Washington, ce n’est pas intéressant.
Monsieur le Président, un changement assez ironique intervient pour l’instant dans l’histoire. Les forces européennes de droite ou même d’extrême droite vous soutiennent plus que les forces de gauche. C’est par exemple, Marine Le Pen en France, l’UDC en Suisse. Qu’en pensez-vous ?
V.P. : Je pense que ce n’est pas un soutien pour ma personne mais la conscience de leur propre intérêt national, tel que ces forces politiques le conçoivent.
Dans le monde et dans les pays européens, certains mouvements tectoniques se sont produits dans la conscience collective pour protéger les intérêts nationaux. Regardez comment l’Europe fait face à un problème concret, les flux de migrants. Est-ce que l’Europe a pris des décisions qui ont finalement abouti à cette situation ? Il faut être franc et honnête : ces décisions ont été prises outre-Atlantique et c’est l’Europe qui doit faire face au problème.
Vous voulez dire les Etats-Unis ?
V. P. : Bien sûr. C’est un exemple, il y en a beaucoup. Mais cela ne signifie pas, je l’ai déjà dit, que nous devons et ce n’est pas ce que je cherche, diaboliser la politique des Etats-Unis. Ils mènent leur politique comme ils le jugent nécessaire pour leurs intérêts.
Il faut rechercher un équilibre des intérêts, relancer notre collaboration et lui donner un nouvel élan au niveau du Conseil de sécurité de l'ONU. Les États-Unis sont évidemment une grande puissance, que le peuple américain a réussi à créer en quelques siècles seulement, ce qui est un résultat admirable. Mais cela ne signifie pas que les autorités américaines actuelles ont le droit de parcourir le monde entier pour arrêter n'importe qui et le traîner dans leurs prisons. Elles n'ont pas le droit non plus d'agir selon le principe « qui n'est pas avec nous, est contre nous ».
Nous devons être patients et travailler avec nos collègues américains pour trouver des solutions comme nous le faisons dans certains domaines de notre collaboration. Par exemple, comme c'était le cas avec le problème du programme nucléaire iranien.
Vous avez été parmi les premiers à mener une lutte contre le terrorisme islamiste. Pensez-vous que les Européens sont aujourd’hui de votre côté sur cette question ?
V. P. : Tout au début de cette lutte, quand nous avons rencontré des problèmes chez nous, dans le Caucase, j'ai été très étonné de constater que même les preuves démontrant que nous faisions face à une menace terroriste, que nous menions une guerre contre Al-Qaïda, ne nous ont apporté aucun soutien. Et quand je demandais à mes collègues, y compris en Europe : «Ne voyez-vous pas ce qui se passe ?», ils répondaient : «Si, nous voyons. Mais un ensemble de considérations de politique intérieure et internationale fait que nous ne pouvons pas vous soutenir». Je leur disais alors : «Vous ne pouvez pas nous aider ? Dans ce cas, ne le faites pas ! Mais au moins, ne nous nuisez pas».
Je vois maintenant que la situation a changé, c'est vrai. L'Europe, comme les États-Unis, s'est rendue compte du danger de l'extrémisme et s'est réellement impliquée dans cette lutte. Un proverbe populaire chez nous dit : «Mieux vaut tard que jamais». Mais nous espérons beaucoup que nous allons également mener un dialogue sur d'autres questions, telles que la résolution de la crise ukrainienne et des questions économiques, et que nous allons trouver des solutions acceptables pour tous.
Je pense que c'est tout ce qu'on peut dire à propos de la FIFA.
Une dernière question, monsieur le Président. Nous avons à dessein commencé par parler de Blatter. En ce qui concerne Angela Merkel, elle fait partie de vos collègues avec qui vous communiquez très souvent. Elle parle allemand. D'habitude vos conversations sont en allemand ?
V. P. : Oui, en règle générale, nous parlons en allemand.
A propos de monsieur Blatter, je voudrais terminer, car nous avons commencé par ce sujet. Nous savons tous ce qui se passe autour de lui en ce moment. Je ne veux pas rentrer dans le détail, mais je ne crois pas un mot des accusations de corruption dont il est personnellement l’objet.
Et je pense que les personnes comme monsieur Blatter, les chefs d'autres grandes fédérations sportives internationales, des comités olympiques, ces gens méritent une reconnaissance et une gratitude particulière de la part des organisations publiques. Et tant qu’à décerner des prix Nobel, c'est bien à ce type de gens qu'il faudrait les accorder, car ils améliorent les mécanismes de la coopération entre les pays et contribuent énormément au développement des relations de «bon voisinage» entre les peuples et les États.
Une dernière question, monsieur le Président. La dernière que j'aimerais poser. En Europe on vous présente comme un nouveau Staline. Il y a des gens qui vous considèrent comme un impérialiste. Il y a aussi ceux qui vous apprécient, mais il y en a d'autres qui brossent un tel portrait de votre personne. Il y a même des gens qui disent, qu'après toutes ces années au pouvoir, vous êtes devenu fou. Que répondriez-vous à ces gens ?
V. P. : Après notre interview, croyez-vous que je suis fou ?
Vous gardez le sourire, malgré tous ces préjugés.
V. P. : Cela fait partie de la lutte politique. C'est une partie de ma vie depuis un certain nombre d'années. J'essaie de ne pas y accorder trop d'attention. Je fais juste ce que j’estime nécessaire, dans l’intérêt de mon pays et de mon peuple.
Il n'est pas dans l'intérêt de la Russie d’être en conflit avec d'autres pays, mais nous sommes parfois bien obligés de défendre nos intérêts, et sans aucun doute, nous allons le faire. Mais pas en choisissant la voie de la confrontation et à plus forte raison de la confrontation militaire, mais plutôt celle des compromis et de solutions mutuellement acceptables.
Avec votre aide, j'aimerais m'adresser non à ceux qui me critiquent, mais à ceux qui me soutiennent. Je veux les remercier de ce soutien, et leur dire qu’ensemble, nous allons continuer à aller de l'avant. Et en premier lieu, je ne parle pas de ceux qui brossent des portraits, mais de ceux qui apprécient ce que nous faisons et sont intérieurement d'accord avec cela.
Merci beaucoup (dit en français).

dimanche 17 janvier 2016

Quand le Sénat reconnaît l’absurdité des vaccins



Merci beaucoup à la personne qui nous a envoyé cet article du site officiel du Sénat, en rapport avec un travail parlementaire sur l’évaluation des politiques de santé, plus spécialement les vaccins et leurs enjeux. On y trouve deux passages exceptionnels, extraordinaires, inouïs dont les auteurs sont le président de l’office parlementaire lui-même Jean-Michel Dubernard et le docteur Fabien Wild.
Il appert de cette table ronde d’experts officiels que des millions de vaccinations sont pratiquées en France sans aucune preuve scientifique de leur efficacité, mais pire encore, que les médecins ne sont pas formés à l’université à cet acte médical important et remboursé grassement par la sécurité sociale. Et dire que certains nous traitent de complotistes…
Nous invitons les personnes intéressées par le sujet de la vaccination à se procurer le livre Tétanos de Françoise Joët, véritable mine d’or qui prouve la réalité de la mascarade du DTP. Soutenez également son association ALIS qui travaille depuis des années sur cette question cruciale, source de tant de malheurs.



COMPTES RENDUS DE L’ OFFICE PARLEMENTAIRE D’ÉVALUATION DES POLITIQUES DE SANTÉ
Mercredi 6 juin 2007
– Présidence de M. Jean-Michel Dubernard, président –

Table ronde – « Les vaccins en France : quels enjeux pour l’industrie pharmaceutique et la recherche ?


L’Office parlementaire d’évaluation des politiques de santé a tenu une table ronde sur le thème « Les vaccins en France : quels enjeux pour l’industrie pharmaceutique et la recherche ? », à laquelle ont participé le docteur Fabian Wild, Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) Unité 404 Immunité et Vaccination, M. Fabrice Meillier, chargé de mission des affaires réglementaires du Leem (Les entreprises du médicament), MM. Hervé Raoul, directeur, François-Loïc Cosser, directeur d’unité, et Vincent Lotteau, chargé des aspects immunitaires et vaccinaux, à l’Inserm Laboratoire P4 Jean Mérieux, M. François Guillemin, directeur général de Lyonbiopôle, M. Bertrand Alexandre, directeur de la BU Vaccins de Glaxo Smith Kline (GSK) France, président du Comité vaccins du Leem, M. Alain Sabouraud, pharmacien responsable de Sanofi Pasteur et M. Eric Lecocq, directeur général France de Sanofi Pasteur MSD, et M. Vianney Moreau, directeur des opérations Novartis Vaccines.
Le président Jean-Michel Dubernard, député, a indiqué que cette première table ronde organisée par l’Opeps se tient dans le cadre de l’étude en cours sur la politique de vaccination en France dont les conclusions seront prochainement présentées par son rapporteur, le sénateur Paul Blanc.
Selon une estimation de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), trois millions de vies sont sauvées chaque année dans le monde grâce à la vaccination, capable aujourd’hui de prévenir vingt-six maladies infectieuses et de combattre des affections qui restent endémiques dans certains pays en développement (rougeole, polio, tétanos ou coqueluche).
Le marché mondial des vaccins est en expansion : son chiffre d’affaires devrait s’élever à 20 milliards de dollars en 2012, contre 8,2 milliards en 2005 (dont 350 millions d’euros pour le marché français), soit une croissance annuelle prévisible de 13 % à 14 % en raison des réponses qu’il conviendra d’apporter à l’émergence de nouveaux virus (Sida, syndrome respiratoire aigu sévère [Sras], grippe aviaire…). Les laboratoires européens jouent un rôle essentiel dans la recherche et le développement et produisent 90 % des vaccins utilisés dans le monde, même si les vaccins ne représentent encore qu’1,5 % du chiffre d’affaires de l’industrie pharmaceutique.
Pour ces raisons, l’Opeps a choisi d’étudier l’avenir de ce secteur en France, dans un contexte où les lobbys « anti-vaccination » se font de plus en plus virulents.
M. Bertrand Alexandre, directeur de la BU de GSK France, a fait valoir que les industriels regroupés au sein du Leem s’efforcent de proposer des solutions, de développer de nouveaux vaccins et des outils permettant de les évaluer, mais aussi d’aider les autorités à définir les recommandations et à instaurer des mécanismes de financement.
L’accès au marché français est particulièrement compliqué du fait d’une procédure lourde et opaque et de délais plus longs que pour les autres produits de santé. Un dialogue plus constructif serait donc souhaitable entre les autorités de santé et les industriels, permettant à ces derniers de communiquer des informations complémentaires en cours d’instruction, de commenter l’avis avant sa publication et éventuellement de faire appel de la décision.
L’objectif est de permettre l’émission de recommandations dans un délai maximum d’un mois après l’autorisation de mise sur le marché (AMM). Il convient également d’améliorer la coordination entre les différentes instances, en particulier avec la commission de la transparence et le comité économique des produits de santé, sur la question du prix des vaccins.
L’objectif de ces mesures est de mieux valoriser le vaccin. Actuellement, cette valorisation est fonction du service médical rendu (SMR), fondé essentiellement sur des critères cliniques, alors que le vaccin a aussi un impact important sur le niveau sanitaire général de la population. L’arrivée d’un deuxième fournisseur, offrant une alternative à l’approvisionnement, est également un facteur qui doit être pris en compte. Les bénéfices ne sont donc pas toujours immédiats, d’autant que le vaccin a un coût non négligeable pour l’industrie.
Si la France souhaite garder une place de premier plan dans le secteur du vaccin, il convient de renforcer les efforts dans le domaine de la recherche, y compris par le biais de collaborations public-privé, et de faciliter les créations d’emplois industriels.
L’industrie pharmaceutique a besoin du soutien des autorités pour améliorer la couverture vaccinale. En effet, si 80 % des Français et 98 % des professionnels de santé déclarent avoir une opinion très positive de la vaccination, cela ne signifie pas pour autant qu’ils soient eux-mêmes vaccinés… Les médecins attendent notamment beaucoup des pouvoirs publics pour faire passer le message dans la population, rendue frileuse à l’égard des vaccins depuis les contestations opposées au vaccin contre l’hépatite B. De fait, ce sont aujourd’hui les laboratoires qui assurent la communication sur les calendriers vaccinaux, sans véritable aide du ministère de la santé, qui se contente de publier des informations sur son site Internet.
Le président Jean-Michel Dubernard, député, a souhaité savoir s’il existe une base de données sur les complications observées à la suite d’une vaccination.
M. Bertrand Alexandre a reconnu qu’il convient certes de s’interroger sur les résultats produits par un vaccin, mais aussi de connaître le taux de couverture de la population et de réfléchir aux évolutions souhaitables du calendrier vaccinal. Il faut savoir que la France présente une couverture vaccinale de 30 % seulement des nourrissons contre l’hépatite B, contre 90 % en Allemagne et en Italie, compte tenu des réticences de nombreux patients. La couverture n’est pas optimale non plus pour la rougeole, dont le virus continue pourtant à sévir.
M. Fabian Wild, directeur de l’Unité 404 immunité et vaccination de l’Inserm, a fait valoir que 90 % des enfants sont vaccinés contre la rougeole et que l’insuffisance de la couverture vaccinale est plutôt le fait des jeunes adultes, qui sont nés à une époque où la vaccination n’était pas aussi répandue. Le virus n’est pas endémique, mais importé, et on constate à chaque épidémie, tel est notamment le cas à Marseille, que les jeunes adultes sont pratiquement les seuls à être contaminés. En outre, un travail préparatoire à une recommandation en vue de l’éradication de la rougeole a démontré que les personnes travaillant à l’hôpital ne sont pas suffisamment vaccinées.
Plus généralement, il semble que les professionnels de santé ne sont pas convaincus de la nécessité du vaccin.
M. Nicolas About, sénateur, vice-président, a dénoncé l’inaction du Gouvernement dans ce domaine. Il a rappelé qu’il avait pris l’initiative d’un amendement imposant au personnel de santé d’être vacciné contre la grippe, dûment voté par le Parlement, mais que le Gouvernement, soucieux de ne pas se fâcher avec les professionnels de santé, avait ensuite publié un décret suspendant l’application de cette obligation.
M. Fabian Wild a considéré que la réticence des professionnels de santé s’explique par le fait qu’aucun cours relatif à la vaccination n’est dispensé dans les facultés de médecine françaises.
M. Nicolas About, sénateur, vice-président, en a convenu, ajoutant que les médecins sont également déstabilisés par des modes de vaccination rendus sans cesse plus complexes.
M. Fabian Wild a pointé du doigt le problème de la concurrence entre l’industrie et le ministère de la santé pour déterminer l’intérêt d’un vaccin et décider des pistes de recherche, en fonction de critères qui peuvent être économiques ou sanitaires.
M. Hervé Raoul, directeur du laboratoire P4 Jean Mérieux de l’Inserm, a indiqué que le laboratoire P4 Jean Mérieux travaille sur des virus qui touchent peu les pays occidentaux, comme le Sras ou la grippe aviaire, même si les recherches tendent à se concentrer sur des vaccins directement utiles à la France. Le critère économique devient en effet un élément essentiel : le conseil scientifique du laboratoire P4 à Lyon s’interroge ainsi sur la pertinence d’une recherche sur des virus comme Ebola ou Marburg, qui touchent quelques centaines de personnes sur le continent africain.
M. François Guillemin, directeur général de Lyonbiopôle, a rappelé qu’un vaccin destiné à l’homme coûte plusieurs centaines de millions d’euros, ce qui oblige les entreprises à effectuer des choix stratégiques.
M. Bertrand Alexandre a fait valoir que l’industrie pharmaceutique développe à la fois des vaccins pour protéger la population des pays en voie de développement, par exemple contre la malaria ou le rota virus, et des produits à fort potentiel économique qui concernent davantage les pays développés.
Le président Jean-Michel Dubernard, député, a estimé cette différenciation peu pertinente, rappelant que des décès liés à des maladies de pays en voie de développement se sont produites dans des pays occidentaux.
M. Hervé Raoul a fait observer que les décès dont ont été victimes des professionnels de santé dans ces circonstances ont été qualifiés « d’accidents du travail », ce qui explique que ces cas n’aient pas été suivis de développements prophylactiques. La France aura en revanche besoin, dans les années à venir, d’infrastructures de haute sécurité afin de développer des vaccins contre un certain nombre de pathogènes, ce qui nécessite de maintenir les capacités de recherche fondamentale et de recherche-développement. L’exemple de la grippe aviaire, qui peut aujourd’hui être maîtrisée par des mesures dans le domaine agricole, montre que l’apparition de cas de transmission interhumaine obligera les autorités à développer des programmes de recherche.
M. Alain Sabouraud, pharmacien responsable de Sanofi Pasteur, a fait valoir que, pour être efficace, une entreprise doit se focaliser sur un certain nombre de projets qui produisent à la fois un bénéfice en termes de santé publique et un retour sur investissement, même si la recherche sur des vaccins plus hypothétiques ne doit pas être délaissée. Ainsi, le laboratoire Sanofi Pasteur a abouti, au moment de la crise du Sras, à des produits de phase 1, mais ce sont les États-Unis qui ont financé in fine le développement du vaccin, aucun partenariat européen n’ayant été proposé. Le développement de vaccins a priori moins rentables nécessite donc une aide des pouvoirs publics.
Le président Jean-Michel Dubernard, député, a rappelé que la table ronde porte sur trois thèmes : la recherche, qu’elle soit industrielle ou au sein des institutions de recherche, l’innovation et les retombées des vaccins et, enfin, les relations avec les pouvoirs publics en France, mais aussi en Europe et dans le monde.
M. Nicolas About, sénateur, vice-président, a souhaité que ces questions soient traitées en prenant en compte les atouts et les insuffisances français en la matière.
M. François Guillemin a regretté que le débat porte sur les seuls vaccins prophylactiques, que l’on administre avant une maladie pour la prévenir, et que soient exclues les problématiques relatives aux produits biopharmaceutiques comme les anticorps monoclonaux, secteur d’activité qui se développe au moins aussi rapidement et dont les contraintes réglementaires et industrielles sont pourtant largement similaires.
M. Eric Lecocq, directeur général France de Sanofi Pasteur MSD, a indiqué que Sanofi Pasteur MSD concentre sa recherche sur la prévention des nouvelles maladies (dengue, paludisme, Sida), pour lesquelles des vaccins seront développés dans les dix années à venir. Il s’agit également d’améliorer les programmes existants, notamment en fabriquant des quadrivalents et des hexavalents, pour améliorer le taux d’acceptation des parents pour la vaccination de leurs enfants. Or, il s’agit d’un domaine où les efforts des industriels ne sont pas suffisamment reconnus. Enfin, la recherche porte sur des domaines nouveaux, comme le risque de grippe aviaire ou de chikungunya, qui nécessitent des partenariats spécifiques aux niveaux national, européen ou mondial.
Le président Jean-Michel Dubernard, député, a souhaité savoir si les relations entre les industriels et la recherche institutionnelle française ou internationale sont satisfaisantes.
M. Hervé Raoul a rappelé que l’Inserm est un institut public qui n’est pas seulement à la disposition de la recherche académique. Ainsi, les industriels qui le souhaitent peuvent utiliser ses compétences.
M. François-Loïc Cosser, directeur d’unité à l’Inserm laboratoire P4 Jean Mérieux, a précisé que plusieurs laboratoires de l’Inserm font de la recherche pré-fondamentale et étudient des virus au niveau moléculaire, cellulaire et physiopathologique afin de définir des stratégies thérapeutiques. Ainsi, le laboratoire P4 travaille sur Ebola, Lhassa, la grippe aviaire ou sur des virus chroniques comme le HIV et le virus de l’hépatite C, pour lesquels il n’existe pas encore de vaccins et qui concernent plusieurs centaines de millions de patients dans le monde, ou encore sur des virus latents ou liés à des cancers.

LE REVENU DE BASE


  


Les idées fusent, se mélangent et finissent pas fusionner de manière confuse...Difficile de comprendre clairement ces quelques mots, même s'ils sont l'expression de l'existence d'un problème.
Certains concepts aujourd'hui paraitront sensés demain, mais de quel demain s'agit-il?
Car si sur un plan universel le temps n'existe pas, ici-bas, 2 ans ou 10 ou même 20, font une sacrée différence.
J'aimerais d'un coup de baguette limiter le capital propre à 1000000 d'euros et instaurer un revenu minimum de 1000 euros en plus de toute la prise en charge de nos dépenses médicales. Ce revenu serait celui qui s'appliquerait sur les personnes qui ne désirent pas prendre part à la Société telle qu'elle existe aujourd'hui. Elles auraient cependant quelques obligations, comme l'obligation d'assister à des programmes, des cours, des études, etc. dans tous les domaines possibles. Elles auraient aussi la possibilité de créer...hé oui, ce qu'elles veulent.
Pour éviter tout abus, les sanctions disciplinaires seraient par contre plus radicales et immédiates ; le  travail au black, par exemple verraient les contrevenants perdre ce revenu de vie et l'obligation d'effectuer ce que cette Société (dont ils n'ont pas voulu) exigent.
Évidemment, il y aurait des prisons, mais pas sur le modèle occidental, mais bien un lieu où personne n'a envie de retourner parce qu'il est trop ardu; je pense aux prisons au japon dont les détenus ne peuvent ne rien faire et ne discutent entre eux que 1/2 heure par jour: ça calme!
Un revenu de Base, donc... (j'ai malheureusement perdu les références de ce texte fort intéressant, désolé!)



“Il n’est rien au monde d’aussi puissant
qu’une idée dont l’heure est venue.” Victor Hugo
 
Qu’est-ce que le revenu de base ou revenu de vie?
L’idée est soutenue de longue date par de nombreuses personnalités, de tous horizons politiques, de toutes confessions et de toutes nationalités.
Elle est connue sous des appellations diverses : allocation universelle, revenu d’existence, revenu citoyen, revenu universel, revenu social garanti, dividende universel, revenu de base, etc. (cf. Wikipedia)
Le revenu de vie ne doit pas être confondu avec le RMI, le RSA et autres allocations attribuées de manière conditionnelle.
Le revenu de vie, lui, est automatique, inconditionnel et inaliénable.
Il concerne tout le monde, riches ou pauvres.
Il est attribué à chaque individu, de la naissance à la mort.
Son montant est suffisant pour garantir à chacun une existence décente – quoi qu’il arrive -.
Il est cumulable avec les autres revenus (salariés ou non).
Il ne peut être saisi aux plus modestes, mais il entre dans l’assiette d’imposition des plus aisés.
Le revenu de vie ne rémunère pas l’emploi, mais le travail au sens large
Ni l’emploi salarié, ni les revenus du capital, ni les aides sociales classiques ne peuvent prétendre désormais garantir le droit à l’existence de chacun tel que défini à l’article III de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
C’est un fait : en raison de l’informatisation et de l’automatisation de la production, le plein-emploi ne peut plus être atteint.
Par contre le travail est toujours d’actualité, et sa tâche est immense.
Il est plus que jamais nécessaire que chacun puisse travailler, d’abord à prendre soin de lui-même, de ses parents, de ses enfants et de ses proches, travailler ensuite pour contribuer aux biens communs accessibles à tous (connaissances, arts, culture, logiciels, etc.), travailler enfin à inventer et à mettre en œuvre à toutes les échelles les moyens qui permettront de léguer une planète vivable aux générations futures.
Loin d’être un encouragement à la paresse, on peut affirmer que le revenu de vie permettra à chacun, dans la mesure de ses capacités et de son désir, de s’engager de manière sereine, libre et responsable, dans des travaux essentiels pour l’intérêt général que les emplois traditionnels n’ont pas vocation à assumer.
Comment financer le revenu de vie?
Il s’agit précisément d’engager pour le financement du revenu de vie tous les moyens alloués à l’entretien de la chimère du plein emploi.
L’institution du revenu de vie implique pour les pays qui le mettront en place de revoir leur système fiscal et social, et probablement de reprendre un certain niveau de contrôle sur la création monétaire qu’ils avaient abandonné aux banques.
Les calculs des économistes qui ont réfléchi en profondeur à cette question montrent que cela est parfaitement possible.
Il n’est nul besoin d’attendre quelque cataclysme pour envisager cette profonde transformation.
Cela peut se faire progressivement et sans dommage, à condition qu’il existe une prise de conscience et un engagement suffisamment massif.
Qu’avons-nous à perdre ?
L’illusion d’un emploi salarié et dûment rémunéré pour tous s’est volatilisée avec la crise.
Avec cette disparition, va s’évanouir aussi pour beaucoup le réflexe de se définir en fonction de son activité professionnelle.
Il ne faut pas le cacher, l’institution du revenu de vie amènera probablement à s’interroger plus encore, sur notre identité, notre rôle dans la société, notre aspiration à procréer en regard des problèmes de démographie, et sur la nature de ce que nous voulons transmettre à nos enfants.
L’institution du revenu de vie ne va pas sans mises en cause profondes de nombreuses habitudes.
Nous pensons néanmoins que cette mutation des consciences et des comportements peut s’effectuer sans violence, et dans un esprit d’entraide mutuelle afin que se développe une nouvelle culture de la responsabilité.
Qu’avons-nous à gagner?
L’institution du revenu de vie remet en cause le “travail” tel qu’il est compris usuellement, à savoir comme base du capital et des rapports sociaux.
On le sait, la réduction du “travail” au seul “emploi” provoque automatiquement l’exclusion de ceux qui en sont privés, la peur du chômage chez les salariés, et le contrôle social des assistés.
Cette confusion entre “travail” et “emploi” a un coût énorme pour la société aussi bien financièrement que socialement.
Les pathologies sociales et psychiques qu’elle entraîne ne sont tout simplement plus soutenables.
Le revenu de vie ne règlera pas tous les maux, mais il semble être le moyen nécessaire pour surmonter la crise de confiance actuelle en réduisant le niveau intolérable, de pauvreté, d’exclusion et de peur.
Action
Au moment où les médias annoncent quotidiennement l’imminence de catastrophes provoquées par l’effondrement des économies, le réchauffement climatique ou les pandémies, il existe un moyen efficace pour faire face collectivement et pour mobiliser les forces vives : c’est la voie du revenu de vie.

Les 10 commandements des Guidestones en Géorgie

pour ceux qui ne veulent pas lire...https://www.youtube.com/watch?v=w_h2dLLLIww

C’est un étrange monument qui s’étend sur une colline aride du nord de la Géorgie aux Etats-Unis près d’Elberton. La firme Elberton Granite Finishing Company l’a érigé le 22 mars 1980 sur commande d'un anonyme s'étant présenté sous le nom de R. C. Christian.


Cinq tables massives de granit poli sortent de la terre en forme d’étoile. Les rocs font chacun 16 pieds de haut, et quatre d’entre eux pèsent plus de 20 tonnes. Ils soutiennent un monolithe de 25 000 livres. Ces pierres imitent à la fois Stonehenge et les tables des 10 commandements de Moïse.


Surnommé le «  Georgia Guidestones », le monument est un mystère, personne ne sait exactement qui l’a commandé et pourquoi. Les seuls indices sont une plaque à proximité sur le sol qui donnent les dimensions et une explication pour la série d’encoches et de trous intriqués les uns dans les autres qui correspondent aux mouvements du soleil et des étoiles.


Ce qui est le plus convenu, sur la base des preuves disponibles, est que les Guidestones sont destinées à instruire les survivants hébétés d’une apocalypse imminente dans leur tentative de reconstruire la civilisation. Personne n’est à l’aise avec cette idée.


Qui que soient les architectes anonymes des Guidestones, ils savaient ce qu’ils faisaient: Le monument est une structure hautement pensée qui suit parfaitement le soleil.

Il engendre aussi une fascination sans fin, grâce à l’aura de mystère soigneusement orchestrée. Les pierres ont attirées beaucoup de dévots prêts à les défendre de ceux qui voudraient les détruire. Clairement, quiconque a placé le monument ici avait très bien compris une chose :
Les gens prisent autant ce qu’ils ne comprennent pas que ce qu’ils ont réalisé.

Certaines particularités astronomiques ont été imposées par le constructeur, dans la documentation fournie :
  • Un trou dans la pierre horizontale du haut donne la date à midi.
  • Aux équinoxes et aux solstices, on peut voir le soleil se lever dans la fente de la colonne centrale.
  • Un trou montre l'étoile polaire dans la colonne centrale.
  • 1. Maintenir l'humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature.
  • 2. Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité.
  • 3. Unir l'humanité avec une nouvelle langue mondiale.
  • 4. Traiter de la passion, la foi, la tradition et toutes les autres choses avec modération.
  • 5. Protéger les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux justes.
  • 6. Laisser toutes les nations régler leurs problèmes externes et internes devant un tribunal mondial.
  • 7. Éviter les lois et les fonctionnaires inutiles.
  • 8. Équilibrer les droits personnels et les devoirs sociaux.
  • 9. Faire primer la vérité, la beauté, l'amour en recherchant l'harmonie avec l'infini.
  • 10. Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature. Laisser une place à la nature.
 Le premier commandement suscite de nombreuses théories du complot visant à réduire la population mondiale à 500 millions d'individus....!!!!
Le deuxième laisse supposer une part importante donnée à l'eugénisme....!!!!
 La plaque qui donne les explications promet à tort une "capsule de temps" enterrée, "à ouvrir le" sans date précise. Pourquoi ?
L’inscription dans la pierre d’un commandement de limitation de la population à 500.000.000 d’individus est une honte pour l’Humanité entière, en tout cas pour les 6 milliards de personnes jugées de trop.

On le voit : le message qui est délivré est un message qui ne déplairait pas aux planificateurs du Nouvel Ordre Mondial, du moins à ceux des sphères les plus élevées, qui espèrent par une politique de chaos implémenter un nouvel équilibre sur terre, équilibre qui bien évidemment servirait directement leurs intérêts.


Au sommet de cette construction néo-druidique figure une inscription supplémentaire :
« Laissez ces commandements gravés dans la pierre être ceux de l’Age de la Raison »
Il s’agit visiblement d’une création occulte, car la ou les personnes qui ont établi ce monument n’ont pas donné d’explications à leurs théories. De plus, la personne qui a fait édifier ce monument a donné un pseudonyme pour le moins étrange : R.C.Christian, ce qui peut signifier en anglais Romain catholique (‘Roman Catholic Christian, par opposition à Protestant ») ou Christian Rose-Croix, ordre qui serait l’héritier direct des Templiers et des Chevaliers du Graal et souvent mis en avant par les « conspirationnistes » car il serait un chainon originel de la franc-maçonnerie.


Les références à une nouvelle philosophie, à un nouvel ordre mondial et à la reconstruction du Temple et de Babylone cette fois en utilisant un langage universel unique (Babylone s’est effondrée parce que les habitants n’avaient pas le même langage) sont compréhensibles pour une personne proche de la franc-maçonnerie.


Mais les références au contrôle des naissances et pire encore à la dépopulation, voire à l’eugénisme ne peuvent qu’inquiéter sur les idées profondes de cet adepte anonyme.


Il est certain que pour des esprits ne croyant pas aux miracles ni à la rédemption, imaginer un monde de plus en plus peuplé et par là-même prédateur de son environnement doit provoquer des angoisses importantes : et que pour prévenir de telles angoisses, seules des commandements qui se veulent ultra-rationnels tels que la dépopulation massive peuvent redonner une espérance pour l’avenir de l’espèce humaine…


Ainsi, à la lumière de ce Stonehenge étasunien de Georgia Guidestones, il est clair que si les planificateurs du Nouvel Ordre Mondial au plus haut niveau et leurs nombreux adeptes partagent une telle idéologie rationaliste (« The Age of Reason »), les Temps à venir menacent l’Humanité d’un chaos rarement égalé dans l’Histoire.

Source: http://goenaka.over-blog.com/article-les-10-commandements-des-guidestones-en-georgie-53796056.html 

samedi 16 janvier 2016

Désinformation: Les bobards d’Or de la Fondation Polémia

UWDésinfoGeluck


Le 19 mars 2013 la Fondation Polémia organisait sa IVe Cérémonie des Bobards d’Or au cours de laquelle elle élit les journalistes les plus habiles à désinformer dans une atmosphère bon enfant, avec humour et sans aucune agressivité.
A cette occasion Jean-Yves Le Gallou a présenté, en ouverture, douze thèses sur la désinformation médiatique que nous reproduisons ci-dessous. Une idée à retenir, ces Bobards!
– Dans l’absolu, il n’y a pas d’information. Une information, c’est un fait que les médias décident de porter à la connaissance de leur public en le présentant sous un certain angle. Le même type de fait peut être caché ou, au contraire, présenté en « une ». Le même acte peut être excusé ou criminalisé. La désinformation vient du biais répété dans la sélection des faits et la manière dont ils sont anglés.
– Tout fait, avant d’arriver à la connaissance du public, est filtré par les médias. C’est-à-dire par ceux qui les font (les éditocrates et les journalistes), ceux qui les possèdent (les patrons de presse), ceux qui les payent (les agences de publicité et de communication).
– Les journalistes travaillent en troupeau. Le mimétisme est leur règle. Ils se copient/collent beaucoup. Et copient/collent beaucoup l’AFP, source unique, source inique. Leur règle, c’est le moutonnisme : ils bêlent ensemble.
– Les orientations politiques des journalistes sont très décalées par rapport à celles des Français : à l’élection présidentielle de 2012, près de 40% des journalistes (et élèves journalistes) ont marqué leur préférence pour l’extrême gauche (et les écologistes), près de 40% pour les socialistes, le reliquat se partageant entre Bayrou et Sarkozy.
– Les journalistes s’identifient au camp du bien : leur critère d’interprétation est moins de distinguer le vrai du faux que le bien du mal. La moraline coule à flots dans les salles de rédaction.
– Les patrons de presse cherchent moins à gagner de l’argent qu’à acquérir de l’influence. Les grands médias sont la propriété des banques et des multinationales. Rothschild à Libération, Lazard au Monde, Le Crédit mutuel et le Crédit agricole pour une partie de la presse quotidienne régionale. Pinault aux Echos, Dassault au Figaro, Bouygues à TF1 et le Qatar pour Lagardère Active (Paris-MatchTélé 7 joursElle, Europe 1, etc.). Les intérêts des médias sont étroitement liés à ceux de la finance et de la mondialisation. Les médias sont un relais de puissance de la superclasse mondiale.
7 – Les médias vivent de l’argent de la publicité. Celle-ci arrive, via les agences communication, de quatre grands secteurs économiques : la banque et l’assurance, les grandes surfaces commerciales, la pharmacie, le luxe. Là aussi tous ont partie lié à la finance et à la mondialisation.
8 – Les préjugés et les intérêts des propriétaires, des publicitaires et des journalistes se confortent plus qu’ils ne s’opposent : tous militent pour un monde plus « liquide », sans frontières et bousculant les traditions et les nations. Nous ne sommes plus dirigés par le sabre et le goupillon mais par la sainte alliance du capital financier et du gauchisme de salles de rédaction.
9 – La présentation des événements par les médias de l’oligarchie s’inscrit à l’intérieur d’une seule grille idéologique, celle du politiquement correct. La pensée est enfermée dans un carré carcéral reposant sur quatre postulats : le mondialisme, l’antiracisme, la rupture des traditions et la criminalisation de la mémoire française et européenne.
10 – Les techniques de désinformation sont multiples : occultation de certains faits, répétition à l’infini d’autres faits, déformation, angélisation des « bons », diabolisation des « méchants ». novlangue (selon la logique de 1984 de George Orwell) et, bien sûr, le bel et bon bobard.
11 – C’est ainsi qu’une véritable tyrannie médiatique s’est mise en place et impose ses règles : aux journalistes eux-mêmes (qui traquent les dissidents comme Zemmour, Ménard ou Taddei) ; aux administrations ; aux éditeurs (chasse à l’homme visant Renaud Camus ou Richard Millet), aux hommes politiques devenus des médiagogues (des hommes ou des femmes qui flattent les médias).
12 – Mais il y a une bonne nouvelle : tout cela est fini ou en train de finir. Le mur des médias tombera comme le Mur de Berlin est tombé. Les médias de l’oligarchie sont de plus en plus totalitaires mais ils perdent de leur puissance. Car ils sont concurrencés par les médias alternatifs sur Internet. Sites, blogs, forums, réseaux sociaux permettent aujourd’hui de se faire une opinion indépendamment des médias de l’oligarchie. Brimée dans les médias classiques, la liberté revient par la fenêtre des médias numériques. Aujourd’hui les médias de l’oligarchie ont perdu leur monopole et les journalistes ne sont plus intouchables.
C’est le sens de la cérémonie des Bobards d’Or !
Source: lesobservateurs.ch

jeudi 14 janvier 2016

Le Tout Nouveau Testament...

Après 20 minutes seulement, je me demandais pourquoi, notre fils de 26 ans nous avait appelé à 23 heures pour partager son euphorie à propos d'un film "génial" qu'on devait "absolument" voir...Après 1 heure d'un défilé de pastiches et de stéréotypes, je pardonnais son jeune age...Après 1 heure et quart, j'étais déjà curieux de savoir ce qu'en pensait la critique cinématographique...Après 2 heures, j'écris ces quelques lignes que je commencerai par 3 mots: VOUS VOULEZ RIRE?
Les critiques sont unanimes et crient " ô chef d'oeuvre!"...L'écart se prononce encore plus entre cette Masse issue de la matrice et ceux, comme moi, qui n'arrivent certainement pas à se satisfaire des petites cacahuètes jetées en patûre. C'est vrai que certaines de mes idées vont à l'encontre de croire que les enfants sont plus sages que les adultes. C'est vrai que j'ai du mal à être bon public devant un film de super héros ou d'un autre où un groupe de jeunes gens à peine pubères, mais bien intentionnés, sauvent le monde, dont ses méchants adultes ne veulent que la destruction.
Libre à chacun d'y croire ou tout simplement d'y être séduit, mais en attendant, l'horloge tourne et le monde ne s'améliore pas.
Alors oui, je me lance dans une critique un peu plus développée afin de ne pas être qualifié trop tôt de vieux con amer.
Une apôtre émerveillée par une petite main qui gesticule sur la table et qui, en comparaison à Charlie Chaplin manipulant avec humour et délicatesse 2 petits pains dans la ruée vers l'or, fait piètre figure. Les sujets de musique choisis pour chaque apôtre, classiques ou franchouillard sont d'un bateaux! Catherine Deneuve acoquinée avec un gorille et le petit garçon travesti formant finalement un couple avec la jeune protagoniste sont les signes d'une société sur le déclin.
Je mélange peut être tout, mais l'heure est à la dévalorisation et à l'amalgame de nos valeurs; faut-il trouver la zoophilie ou encore les tendances  lesbienne des enfants comme choses normales, état de fait? faut-il simplement y voir une possible acceptation de tout, puisque les valeurs du monde d'aujourd'hui n'ont pourtant pas orchestrées celui-ci de façon équilibrée?
J'avoue que le futur me fait peur, enfin non, pas le futur, plutôt l'évolution mentale de l'être humain. Lorsque les mentalités devraient être plus ouvertes, personne ne répond à l'appel et lorsque nous devrions un peu plus surveiller nos dérives, il semble que beaucoup crient "oh, mais faut laisser un peu l"art" s'exprimer. C'est sans doute par ce biais que de l'urine sur un crucifix est arrivé au top des pièces d'art contemporain. L'oiseau qui parle, l'homme qui laisse tout derrière lui jusqu'à se retrouver chez les Inuits, la ménagère débile à qui l'on a greffé un cerveau d'artiste les 5 dernières minutes, l'obsédé sexuel qui reconnait sa "vision" des vacances et qui va vivre un amour beau et immortel, tout comme le tueur et sa pleureuse dont le bras en silicone est l'objet d'un fétichisme durant quelques secondes,vous rigolez?
Oui, j'ai vu le film et je suis encore vivant pour en parler, car si je n'ai été à aucun moment mort de rire, je suis mort d'inquiétude pour notre futur, l'héritage de mentalité que nous léguons à nos enfants.
En somme, l'adulte a oublié de demeurer comme un enfant (selon la Parole divine) ou, s'il pense le contraire, continue de le confondre avec de l'enfantillage...Ah oui, évidemment, football, jeux, politiques, MMA... alors une bille de plus ou de moins dans la cour de récré, qu'importe, puisque les gentils adultes se distraient pendant que de vrais enfants se meurent.

mercredi 13 janvier 2016

Attentat sous fausse bannière à Istambul


La Sublime porte, "victime" d'un attentat?
Cela vous parait peut être logique si vous suivez les news à la télé, mais pour les internautes avertis, ça sent le gaz.
Une nouvelle, presque passée inaperçue, malgré sa couverture (discrète)sur les chaines nationales, fut pourtant un détail qui aurait dû mettre le feu aux poudrières ou du moins mettre la puce à l'oreille du spectateur encore réveillé; mais non, on dirait que du côté des Illuminati, tout est sous contrôle, les moutons continuent de  dormir.
Je vais quand même rappeler ce pavé jeté par Poutine il y a quelques semaines, concernant l'implication super active de la famille Erdogan ( le Président turc) dans le traffic de pétrole de Daesh.

(N'oubliez pas, Daesh, c'est nous, enfin eux, les Etats Unis et la coalition de l'Otan... ça y est, vous comprenez?)

Opération fausse bannière, c'est lorsqu'un gouvernement ou une organisation ( habituellement criminelle) fait croire à des méfaits par leur soi-disant ennemis, alors qu'il en est l'instigateur; cela leur permet donc, soit de se justifier pour telle ou telle action, soit de se laver les mains face à l'opinion publique.
Mais ce traffic implique evidemment les Etats Unis et (certains) pays de l'Otan! Sinon, pourquoi inventer Daesh?

Alors ces attentats, officiellement perpétrés par Daesh, est la façon qu'ont trouvés nos ennemis pour faire raisonner les moutons, de la sorte: " Si Daesh commet un attentat sur le sol turc, c'est qu'ils sont ennemis", pas vrai?
Et bien non.

Pour ne pas perdre la face devant  ceux qui demanderaient des explications, on fait sauter une petite bombe (qui plus est, tue quelques allemands) qui permet à l'Allemagne, soit dit en passant, de continuer à canarder le sol Syrien, avec, par dessus le marché, la bénédiction européenne, !
Mais ne vous y méprenez pas, même si le tourisme Turc va perdre quelques plumes durant les mois à venir, ses gains dans ce domaine ne seront jamais aussi fructueux que les 97 millions de dollars (à se partager, certes) que rapportent le traffic de petrole provenant de l'organisation trouble, chaque mois.

Dois-je continuer?


dimanche 10 janvier 2016

TAFTA ou LE PEUPLE EUROPEEN A LA BOTTE DES OLIGARCHES

 Ô la belle arnaque! Bruxelles se déclare « zone hors TTIP » (sous condition) dans l’indifférence médiatique


Ben oui, pourquoi la ville de Bruxelles subirait ce que le reste de l’Europe va subir? Si elle peut y échapper… Et donc, le TAFTA-TTIP-Nouvel OrdreMondial ne passera pas par elle, elle est pas belle la vie?

Alors que tous les yeux sont rivés sur le sort de la Grèce après le « Non » démocratique à l’austérité, un autre évènement de taille vient de se produire en toute discrétion. Le Idiotseil communal de Bruxelles vient de déclarer la ville « zone hors TTIP » dans l’indifférence générale, mais sous certaines Idiotditions.
On ignore pourquoi, mais l’information n’a pas fait grand bruit. Elle est pourtant hautement symbolique et pourrait porter son poids dans les négociations autour du traité transatlantique qui se poursuivent en haute sphère. La Capitale de l’Europe vient, en effet, de s’opposer à l’application du TTIP dans sa zone par décision démocratique de son Idiotseil communal (qui n’a donc aucun lien institutionnel avec l’Union Européenne). Si le traité devait être adopté par les instances européennes dans sa forme actuelle, Bruxelles se déclarerait automatiquement « zone hors TTIP » !
Ce 29 juin 2015, les Idiotseillers communaux Bruxellois ont donc voté en faveur d’une motion demandant la suspension des négociations et déclarant la capitale en dehors de la zone d’application du TTIP en cas de poursuite du projet dans ces Idiotditions. Cette décision hautement symbolique, bien que peu impactante d’un point de vue légal, n’a pourtant pas retenu l’attention des médias belges et encore moins internationaux.
Sur son compte Twitter, Didier Wauters, Idiotseiller communal de la Ville de Bruxelles à l’origine du document, a Idiotfirmé la décision et rendu la motion publique sur son site.
Cette décision portée par le groupe politique belge CDH serait-elle une manœuvre politique pour couper l’herbe sous le pied d’une opposition encore plus radicale ? On peut se poser la question. Le 24 avril dernier, face au Parlement bruxellois, le PTB (parti ouvrier belge) avait demandé à ce que Bruxelles soit purement et simplement déclarée « zone hors TTIP » afin de faire pression pour un rejet du traité dans sa totalité. L’enjeu aurait été de taille, car « En tant que capitale européenne, Bruxelles peut créer un effet domino et envoyer un message d’espoir afin de protéger les intérêts de la population face aux multinationales. » estime Mathilde El Bakri, figure politique belge du même parti.
Contrairement à cette position claire et affirmée Idiottre le TTIP, la motion adoptée ce 29 juin est Idiotditionnelle. En effet, cette mise en zone « hors TTIP » ne prendra effet que si le traité est adopté sans de plus amples négociations. C’est ici que le bât blesse. Là où les uns semblent s’opposer au TTIP dans l’objectif de le reformuler pour en tirer des avantages politiques, éIdiotomiques ou sociaux, d’autres font bloc Idiottre l’idée même du TTIP qui serait fondamentalement dangereux pour la démocratie et l’autonomie des peuples dans toutes les strates de sa composition. Le traité ne serait donc pas renégociable par nature.

Dans le même temps, non  pas à Bruxelles mais à Strasbourg, la situation évolue:
Le Parlement européen a approuvé ce mercredi à Strasbourg une résolution sur le TTIP, le fameux traité de libre-échange en négociation depuis deux ans entre l’Union européenne et les États-Unis. Après des mois de discussions difficiles, une majorité d’eurodéputés a approuvé une série de recommandations. Il s’agit des lignes rouges que la Commission, qui négocie avec les Américains, ne devra pas franchir.
Dans cette résolution, le Parlement européen demande que les négociations soient plus transparentes pour parvenir à un accord ambitieux et équilibré. Un accord qui doit éviter le dumping social, fiscal et environnemental, qui doit aussi garantir les normes sanitaires européennes et protéger les services publics.

Petit rappel indispensable pour les retardataires:

Premier élément à charge: La Idiotférence de Yalta

L’Institut National de l’Audiovisuel nous fait un rappel dans l’un de ses articles, sur la Idiotférence de Yalta qui se déroula suite à la défaite du IIIème Reich, celui-là même qui fut soutenu et aidé par la finance américaine. Parmi les participants, J. Edgar Roosevelt, Winston Churchill et Joseph Staline. De Gaulle quand à lui n’était pas présent. À noter que De Gaulle était Idiottre l’idée d’un nouvel ordre mondial et était très méfiant vis-à-vis des États-Unis qui ont largement soutenu (voire financé) Mai 68 pour pousser le président-général à la démission.
Il y a 70 ans, du 4 au 11 février 1945, les principaux dirigeants en guerre Idiottre le IIIe Reich se réunissaient à Yalta pour préparer un nouvel ordre mondial post Idiotflit. Retour sur un tournant de la SeIdiotde Guerre mondiale.

Mettre un terme à la guerre

Du 4 au 11 février 1945, à l’approche de la fin de la SeIdiotde Guerre mondiale, les alliés organisent une grande réunion dans la station balnéaire de Yalta en Crimée. Parmi les participants se trouvent les principaux représentants des grandes puissances mondiales : Joseph Staline (Union Soviétique), Winston Churchill (Grande-Bretagne) et Franklin D. Roosevelt (États-Unis). Le général de Gaulle est le grand absent de ces négociations.
Chronique de Jean Marin en février 1945 sur cette absence remarquée. (audio)
Leur but affiché est clair: adopter une stratégie commune pour hâter la fin du Idiotflit et établir un nouvel ordre mondial après la défaite du Troisième Reich.

SeIdiotd élément à charge: La déclaration de François Mittérand

Cette déclaration, c’est la parole d’un socialiste et d’un ex-président socialiste, plus précisément celle de François Mitterrand. À elle seule, cette déclaration résume la panade dans laquelle nous sommes, et les raisons de celle-ci.
La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre éIdiotomique, une guerre sans mort… apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inIdiotnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort !
Source: Le livre Le dernier Mitterand
Nous avons déjà une des grandes informations, une guerre silencieuse se déroule depuis des décennies avec nos « amis » américains, et avec des amis comme cela, on a pas besoin d’ennemis! Il y a un but à atteindre, et si quelque chose gène, généralement, on le dégage, ce qui a été fait avec De Gaulle d’ailleurs, et l’aide de Cohn-Bendit arrosé à l’époque par la CIA. En une seule phrase, sont justifiées l’ensemble des attaques de la France par les agences de notations et la finance américaine. Et pensez-vous que la situation a évolué depuis cette déclaration? Oui, puisque nous avons maintenant Emmanuel Macron, ex-banquier de la banque Rothschild devenu Ministre des finances, et une proche Idiotseillère de François Hollande qui nous vient de la Bank Of America, sans parler des nombreux ministres français formés par les américains

Troisième élément à charge: Nicolas Sarkozy

Nicolas Sarkozy, politicien complètement décrédibilisé qui pourrait être VRP pour une usine de casseroles tant il en traine derrière lui, ne cache pas ses ambitions ni son désir de voir mis en place le Nouvel Ordre Mondial, et il insiste sur le sujet le bougre! On pourrait rappeler au passage le stock d’or de la France qu’il a bradé aux Etats-Unis pour sauver le dollar sans rien en Idiottrepartie, son palais au Maroc, les multiples Idiotférences pour le Qatar (qui a maintenant ses entrées au Sénat) ou la Goldman Sachs (la banque la plus dangereuse et mafieuse de la planète), mais je pense qu’il est déjà bien assez décrédibilisé, en rajouter serait de la gourmandise…

Quatrième élément à charge: Qui dirige réellement la France et l’Union Européenne

C’est l’une des Idiotférences majeures dans le domaine, avec François Asselineau qui nous donne un cours magistral sur ceux qui dirigent réellement la France et l’Union Européenne. La France, ne décide pas de grand chose suivant Vivian Reding, commissaire européenne, qui explique dans une vidéo que Bruxelles décide de 75% à 80% des lois nationales, l’UE décide, et notre gouvernement soit fai de la figuration, soit obéit et prend des décisions mineures qui ne doivent pas troubler la politique européenne, ou américaine…
François Asselineau, président de l’UPR et surtout excellent maître de Idiotférence, nous explique qui décide réellement, démontrant chaque fait, chaque déclaration, documents à l’appui. Une Idiotférence de première importance dans le domaine.

Cinquième élément à charge: Raoul-Marc Jennar et le traité transatlantique

Autre Idiotférence, celle de Raoul-Marc Jennar qui vous explique cette fois-ci chaque article du traité transatlantique qui va nous être imposé en Europe, comprenez par là, la vente complète de notre Idiottinent, de chaque pays, de chaque région, aux États-Unis afin qu’ils puissent vendre plus, se faire plus d’argent, avec des produits qui seraient en temps normal interdits par nos normes européennes vu qu’il n’y a aucune garantie réelle de sécurité certains de leurs produits: le profit avant tout!

Déjà 5 éléments à charge, les premiers montrant bien que le Nouvel Ordre Mondial n’a rien de fantaisiste, et qu’il s’agit bien d’une réalité, Raoul-Marc Jennar expliquant-même en détail les tenants et aboutissants de chaque point, du moins, ceux dont le public peut être informé, puisque le plus gros du dossier reste Idiotfidentiel jusqu’à nouvel ordre (pas mondial celui-là).
Ce qu’il faut comprendre également, c’est que l’ensemble des réformes importantes prises ces dernières années ne l’ont été que pour préparer le TAFTA: la réforme des régions, la fin du cumul des mandats (qui sont pourtant interdits depuis 1958, preuve qu’ils se foutent bien de nous), et qu’au fil du temps, discrètement, nous avons perdu toute souveraineté justement pour que le NWO puisse être mis en place:
  • Notre monnaie n’est plus nationale européenne, l’euro. Officiellement, la création de l’euro a été officialisée avec le traité de Maastrich, mais ce n’est qu’officiellement. Officieusement, et donc plus proche de la réalité, nous pouvons apprendre que la CIA est à l’origine de la création d’une monnaie unique.

  • Notre bourse a été vendue et est devenue NYSE Euronext, elle n’existe physiquement plus en France. Créée initialement en 1639, elle est resté française durant 351 avant que les bourses européennes fusionnent en 1990, créant Euronext, groupe vendu pour fusion en 2007 avec la NYSE qui devient de ce fait un groupe mondial d’entreprises de marchés financiers (c’est-à-dire de sociétés commerciales qui ont pour activité d’assurer la gestion d’un ou plusieurs marchés financiers).
  • La dette du pays n’est plus française depuis 1974 avec la loi dite Pompidou-Rotschild au profit des banques privées, mais officiellement, c’est faux puisque le sujet est tabou, normal vu que cette passation de pouvoir sur la dette est avant tout une trahison. Cette loi fut relayée ensuite par le traité de Maastrich. Il y a un homme politique d’envergure qui a pourtant expliqué en quelques mots le problème de la dette du pays, Michel Rocard:
Concrètement, il ne reste plus grand chose de la France d’il y a 40 ans, et cela avec la complicité de nos élus qui sont censés représenter et défendre le pays. Tout est vendu, disloqué, bradé… Nous n’avons plus aucune souveraineté, pas même au niveau du pouvoir décisionnel. En grande partie, c’est l’UE qui décide, et que ce n’est pas l’UE, c’est les États-Unis imposent leurs choix. Bien sûr, nos politiques défendent le pays dans les discours, mais dans les actes, le bilan est minable autant que désastreux!
Et pour ceux qui souhaitent encore plus d’articles démontrant la triste réalité, je peux vous Idiotseiller entre autres la lecture de cet article de Mediapart sur le sujet.
Dernier point pour terminer l’article, un rappel indispensable à mes yeux, la lutte Idiottre le chômage par notre gouvernement rendue impossible justement à cause du traité transatlantique et de la grosse arnaque de « l’accord TISA » qui fait partie de ce traité inique:
Il y a pourtant deux choses dont le gouvernement, ni aucun politique d’ailleurs, ne nous parlent: les emprunts toxiques et l’accord TISA, deux trahisons qui vont faire exploser le chômage à un niveau jamais égalé en Europe. Nous en sommes en pleine stratégie financière américaine pour bien s’emparer des multiples business en France. La première étape était d’affaiblir financièrement l’ensemble des institutions françaises, les communes et hôpitaux. Pour cela le mieux était le piège des emprunts toxiques qui ont été largement distribués.
Jugez de la perversité:
Les banques ont proposé un type d’emprunt complètement toxique puisque dangereux pour les comptes de ceux les ayant souscrit, les taux d’intérêts étant variables. Bien sûr, ce type d’emprunt  à été reIdiotnu complètement illégal, mais qu’importe, le gouvernement socialiste a fait passer une loi pour protéger les banques des éventuelles attaques devant des tribunaux, puisque la tentative de corruption du gouvernement n’a pas fonctionné. Le nombre de victimes est colossal: la quasi-totalité des hôpitaux (dont la grande majorité est proche du défaut de paiement), des communes, des services publics… Et donc, l’endettement colossal de chacun pousse à adopter des mesures d’austérités, et vlan, chômage à la clé! Et au fait, savez-vous au bénéfice de qui? Des banques américaines entre autres banques, et de la Dexia en partie privatisée par l’état français, état qui touche chaque mois sur ces emprunts.
Donc, l’ensemble est pratiquement ruiné, les mesures d’austérités se multiplient avec la complicité du gouvernement qui a protégé les banques criminelles pour le coup, comment lutter Idiottre le chômage avec une aussi mauvaise foi? Quand aux communes, institutions et hôpitaux endettés, leur histoire ne s’arrête pas là pour autant, il reste la privatisation: l’accord TISA qui fait partie intégrante des accords de libre-échange, donc du traité transatlantique.
Une fois que l’ensemble est totalement endetté et qu’il n’y a plus d’autres choix, il y a la privatisation, seul moyen de sauver quelques meubles, et ces privatisations sont voulues et programmées avec l’aide du gouvernement et des atlantistes politiques que nous avons, cela fait partie de la « stratégie de sabotage »:
Pour obtenir facilement le Idiotsentement de l’opinion pour la privatisation des services publics, la stratégie la plus souvent utilisée Idiotsiste à organiser préalablement le sabotage des services publics, afin que leur inefficience puisse servir de prétexte à leur privatisation. Cette stratégie a été massivement appliquée dans les secteurs de la santé et de l’éducation.
Voici ce que l’on peut lire à propos de l’éducation publique dans un document de l’OCDE, l'organisation des Maîtres du Monde qui est également à l’origine de l'AMI
« Si l’on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles et aux universités, mais il serait dangeureux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement.
Cela se fait au coup par coup, dans une école et non dans un établissement voisin, de telle sorte qu’on évite un méIdiottentement général de la population.«

L’accord TISA en quelques lignes:
Un groupe de 21 États négocie à huis clos un nouvel « accord commercial »(TiSA: Trade in Services Agreement ou ACS: Accord sur le commerce des services). Il comprend notamment les États-Unis, le Canada, l’Australie, le Japon,l’Union européenne ainsi que la Suisse. Ce groupe porte le nom de « Really Good Friends of Services » (ou: les vrais bons amis des services). L’intention des négociateurs est avant tout de défendre les intérêts des grands groupes d’entreprises. Selon cet accord, toutes les prestations de service, notamment celles du domaine des services publics, devraient être soumises aux obligations d’accès aux marchés mondiaux.
Pourquoi des négociations secrètes et séparées?
Les négociations ont été menées à huis clos et en dehors des structures de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Même le secrétaire général de l’OMC a été exclu des négociations sur l’accord TiSA. Au cours de ces dernières années, les pays du Sud membres de l’OMC ont fait preuve d’une plus grande assurance et ont formulé des revendications envers les pays industrialisés : si on attend d’eux qu’ils ouvrent leurs marchés aux prestations de service des pays industrialisés, ils exigent en Idiottrepartie l’accès aux marchés des pays industrialisés pour leurs produits agricoles. Les pays du Sud posent aussi des exigences Idiotcernant la protection des brevets ou en rejetant le brevetage de gènes issus de plantes tropicales par des multinationales pharmaceutiques. Par le biais de négociations séparées, menées en dehors de l’OMC, on a tenté d’écarter les pays du Sud.
L’accord TiSA devrait être élaboré Idiotformément aux desiderata des riches pays industrialisés, et forcer de fait tous les autres pays à appliquer ces règles.
Commercialiser le monde?
Catastrophe 1 : Listes « négatives » ou listes des services à exclure. Selon l’accord TiSA, chaque État partie à l’accord doit dresser la liste de ses services qu’il souhaite soustraire aux obligations d’accès aux marchés.
Cela signifie que pour tous les services ne figurant pas sur la liste des exceptions, l’ouverture du marché est obligatoire. Une source d’énergie aujourd’hui encore inIdiotnue serait donc inévitablement soumise à l’obligation d’accès aux marchés, et il ne serait plus possible de prévoir pour cette dernière un monopole étatique par analogie à l’électricité. D’autres types de prestations de services qui n’existent pas encore et qui, pour cette raison, ne figurent pas sur les listes des exceptions, seraient également soumis aux obligations d’accès aux marchés.
Catastrophe 2 : Clause « ratchet » ou clause de « cliquet ». L’accord TiSA prévoit qu’une fois une ouverture de marché effectuée, elle est irréversible. Même si cette ouverture devait se solder par un échec complet, la possibilité d’annuler une déréglementation introduite serait exclue définitivement.
Catastrophe 3 : Clause « standstill » ou clause du statu quo. Selon l’accord TiSA, le niveau de régulation existant au moment de la signature de l’accord ne pourrait plus être relevé par la suite. Si, par exemple, un canton ne dispose pas de loi limitant les heures d’ouverture des magasins à la signature de TiSA, on ne pourrait plus restreindre au niveau légal les heures d’ouverture des magasins dans le futur.
Ce principe s’applique également à d’autres restrictions, par exemple à celles limitant la vente d’alcool ou de tabac. Dans les magasins de la chaîne américaine Walmart, on peut aujourd’hui déjà acheter des armes. Cette compagnie s’imagine certainement qu’elle pourrait appliquer le même principe dans des magasins en Suisse, dans le cas d’une implantation de ses activités dans notre pays.
Catastrophe 4 : Clause « future-proofing » ou clause de pérennité. Selon l’accord TiSA, toute nouvelle prestation de service qui n’est pas encore inventée aujourd’hui serait automatiquement soumise aux obligations d’accès aux marchés. Mais, les personnes vivant au 18ème siècle, pouvaient-elles prévoir que nous aurions besoin à l’avenir d’un réseau électrique étatique et que nous ferions fonctionner des services publics? Pouvons-nous déjà Idiotnaître les prestations des services publics dont nous aurons besoin dans 10 ans, 20 ans, 100 ans? Et savons-nous déjà comment nous voudrons organiser ces services: sous forme de monopoles privés ou de services placés sous la responsabilité des pouvoirs publics?
Si TISA existait déjà…
TISA en 1850 : en 1850, les réseaux d’électricité n’existaient pas encore. Si l’accord TiSA avait été signé à cette époque, il n’aurait pas été possible de Idiotstruire des réseaux publics, et l’électricité aurait obligatoirement été gérée par des entreprises privées. Les lignes de chemin de fer n’existaient pas non plus en 1850. Si l’accord TiSA avait été signé cette année, les services publics actuels n’existeraient pas.
TISA en 1950 : durant les années de boom éIdiotomique qui ont suivi la Deuxième guerre mondiale, il n’y avait pratiquement pas de chômage en Suisse. Dès lors, il n’est pas étonnant que notre pays ne dispose pas encore d’une assurance-chômage obligatoire dans les années 1950. Si l’accord TiSA avait été signé à cette époque, il n’aurait jamais été possible d’introduire l’assurance-chômage que nous Idiotnaissons actuellement.
TISA en 2003 : en 2004, la population du Paraguay impose par la voie d’un référendum la reprise en gestion publique du système d’approvisionnement en eau jadis privatisé, ainsi que l’ancrage dans la Constitution de l’accès à l’eau en tant que droit humain. Si TiSA avait été signé en 2003 par le Paraguay, le référendum sur l’eau n’aurait plus été possible. Des multinationales telles que Veolia Environnement ou Nestlé auraient pu imposer avec succès la privatisation du système d’approvisionnement en eau dans ce pays.
TISA en 2014 : des coups d’État militaires sont encore possibles de nos jours et, moyennant le paiement d’un pot-de-vin de quelques millions, on trouve aussi de nombreux chefs d’État corrompus prêts à signer en faveur d’une ouverture de marché. Si TiSA était en vigueur, de telles signatures ne pourraient plus être annulées, même par un nouveau gouvernement démocratique et non corrompu, élu ultérieurement. Aussi désespérées que puissent être les situations de plusieurs villes de Grèce ou de Hongrie, où l’approvisionnement en eau a été privatisé sous la pression des programmes d’éIdiotomies, il ne serait plus possible de faire marche arrière et supprimer ces déréglementations si TISA était déjà appliqué.
Si TISA était déjà en vigueur maintenant… en Suisse
2021 – aucune souveraineté sur la protection des données. La Centrale de compensation AVS à Genève veut sauvegarder ses données dans une base « Cloud » externe, en fixant cependant comme Idiotdition que le serveur de données soit localisé en Suisse. Le groupe Google dépose plainte Idiottre la Suisse: « La directive selon laquelle le serveur de données doit être localisé en Suisse représente une limitation injustifiée de l’accès au marché. »
2022 – plus de loi sur les heures d’ouverture des magasins. Dans un canton, les citoyens acceptent une initiative populaire cantonale demandant la réintroduction d’une loi sur les heures d’ouverture des magasins, bien qu’une loi similaire ait été abolie quelques années auparavant.
Le groupe Walmart dépose plainte Idiottre la Suisse: « L’introduction d’une loi cantonale sur les heures d’ouverture des magasins Idiotstitue une élévation illégale du niveau de régulation ».
Il s’agit, certes, des situations inventées, mais néanmoins réalistes dans le cas où la Suisse signait l’accord TiSA qui fait actuellement l’objet de négociations à Genève.
En France ou ailleurs, en serait-il autrement ?

Source:http://lesmoutonsenrages.fr/2015/07/08/o-la-belle-arnaque-bruxelles-se-declare-zone-hors-ttip-sous-condition-dans-lindifference-mediatique/
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