CODEX PLEIADIEN

20. La Loi du Collectif

Ce qui est bon pour tous est bon dans la mesure de leurs besoins et de leur participation individuelle. Cette loi réfute la notion que le collectif est la même chose pour tous et que le privé est bon seulement pour certains individus.

Nous allons nous concentrer sur ce concept, car de toutes les lois que nous analyserons aujourd’hui, celle-ci est peut-être la raison principale de discussion des prochaines 13　000 années.
Elle s’oppose aux concepts de «　collectif signifie égal pour tous　» et «　spécifique n’est bon que pour certaines personnes　».

Fixons ce concept dans l’espace du cœur. Ce qui est bon pour tous est bon dans la mesure des besoins et de la participation individuelle. Ce n’est ni ce que vous appelez communisme, ni ce que vous appelez capitalisme. Le communisme ne respecte pas l’individualité et le capitalisme est au-delà de la nécessité.

Etes-vous capable de comprendre que c’est un troisième concept　?

Quelque chose de socialement bon est bon pour tout le monde, ne fait de mal à personne, dans la mesure de la nécessité et de la participation de chacun.

Ainsi, s’il est nécessaire pour vous d’avoir beaucoup de graines, et que cela ne l’est pas pour l’autre, cela peut être bon pour la communauté. Ce n’est pas la peine de les répartir entre tout le monde. Cela dépend de la nécessité. Mais il faut comprendre la participation. Si vous n’allez ni utiliser les graines, ni participer à leur plantation, ce n’est pas bon pour ceux qui ont les graines s’ils ne vont pas les planter.

Le concept de collectivité n’est pas le même pour tous. L’individualité est ce qui régit le concept de communauté. Il est nécessaire que le «　je　» comprenne la nécessité de «　l’autre　». Le Je individuel comprend le besoin du Je individuel, et n’est pas blessé parce que vous avez momentanément, si c’est le cas, des graines à vendre. Ce qui est bon pour tous est bon dans la mesure individuelle de la nécessité et de la participation de chacun.

Si la personne ne veut pas participer, elle n’est pas alignée avec le concept de communauté.
　
21. La Loi de Manifestation de la Source

Demandez directement à la Source quelque chose de mérité, en échange de ce qui est juste.

On peut créer individuellement. Cependant, ce travail, cette énergie ne représente que la création d’une personne. Individuellement, on crée avec l’énergie et la force d’un. La co-création potentialise cette création à son carré parfait, vous en souvenez-vous　?

Outre les aspects de création individuelle et de co-création, il existe les aspects de Manifestation de la Source.

Il est possible qu’un individu demande à la loi de Manifestation de la Source et reçoive ce qui est mérité directement de la Source, en échange de quelque chose qui est juste, ce qui veut dire que tous les aspects n’ont pas à être créés ou co-créés, ils peuvent être reçus directement de la Source.

Prenons un exemple relatif à un remède. Un individu peut créer le remède en lui-même. Un individu peut, en se joignant à un autre, co-créer la guérison en lui-même. Mais il peut choisir une troisième option et recourir à la loi de Manifestation de la Source.

Il peut recevoir cette guérison ou créer cette guérison, sans créer par ses actions, mais en demandant que la Source la crée et que celle-ci se manifeste dans son existence.

Que réglemente cette loi　? Et quand est-elle utilisée　?

Lorsque l’individu reçoit ce qui est mérité, en échange de ce qui est juste. Il n’y a pas moyen de faire manifester dans son existence quelque chose qui n’a pas été échangé en termes d’énergie ou d’action.

Lorsqu’on requiert une manifestation directe de la Source, il faut le faire selon les termes de ce plan et de cette dimension en échange de quelque chose que l’on a, pour quelque chose qui soit juste.

Ainsi, lorsque l’on sollicite, dans cet exemple, un remède directement par la loi de Manifestation de la Source, on peut l’échanger contre une attitude ou une promesse de ne plus s’approcher des situations qui ont causé le mal en question. Est-ce juste　? Ce sera donc mérité.

La plupart des êtres, lorsqu’ils traitent avec les manifestations de la Source, font quelques erreurs basiques.

La première est de ne pas demander à la Source, mais à une individualisation de la Source. Ce sont leurs saints, leurs images, leurs croyances petites et limitées qui ne sont que des individualisations de la Source. Ils peuvent même regarder ces images, mais ils doivent se rappeler que, à ce moment-là, elles représentent la Source, sinon ils ne bénéficieront pas de sa manifestation.

S’ils demandent une manifestation de la Source, ils doivent demander au Tout, et non à une individualisation de celle-ci. A aucune, aussi importants ou brillants soient l’enseignant ou l’énergie. C’est toujours une individualisation lumineuse et importante, mais seulement une individualisation.

La première erreur est de ne pas s’adresser directement à la Source.


Traduction:Vinod (Collaboration Prismus)