dimanche 31 mars 2013

Qui est donc ce Monsieur Keshe?

Une technologie de pointe pour le 3e millénaire.

Mehran Tavakoli Keshe est né en Iran, fils d’un ingénieur en rayons X, directeur auprès de Philips. Jusqu’à l’âge de 18 ans il demeure en Iran où il a développé un intérêt tout particulier pour le fonctionnement des aimants et des rayons X. Il quitte l’Iran pour faire les études d‘ingénier nucléaire à l’université ‘Holy Mary College’ à Londres. Son professeur l’introduit auprès de la direction du centre nucléaire de Londres. En quelques semaines, il arrive à redessiner tout le centre de manière à ce qu’il soit plus sécurisé et aujourd’hui le centre nucléaire de Londres est considéré comme le centre le plus fiable au monde. Ensuite, il s’est lancé à son compte dans les affaires qu’il réussit avec brio, car à l’âge de 27 ans il a réussi à ériger une multinationale avec des bureaux dans 5 pays et 3 continents, lui permettant de gagner suffisamment d’argent pour ce concentrer et s’investir à fond dans les recherches. Il met en pratique le rêve qu’il avait depuis l’âge de 8 ans. En 2004, Monsieur Keshe entre en contact avec FLAG (Flemish Aerospace Group) qui l’invite en Belgique… Monsieur Keshe, étant remarié avec une femme belge, s’installe en Belgique. Il a toujours gardé sa nationalité Iranienne. Il a créé le ‘Stichting’ (fondation) Keshe Foundation aux Pays-Bas, d’où il organise le tout et ce pour des raisons de sécurité. Ses inventions (entre temps plus de 1.000 brevets) ont été vérifiées par les universités de Gand, de Bruxelles, de Louvain, de Liège, et beaucoup d’autres comme étant correctes et réalisables. Les organisations, instituts, sociétés, tel que SCK, VITO, VERHART, CERN, IMEC, NASA et beaucoup d’autres sont très bien au courant de qui il est, et ils en ont peur pour leur ‘commerce’, car il est incorruptible. Monsieur Keshe à fait connaître ses inventions au grand public et cela dérange fortement. Depuis mars 2006, il est suivi de très près par la CIA, le MI5 et le MI6 et beaucoups d’autres services d’intelligence et de sécurité d’état. Il est considéré comme le « savant terroriste » n°1 au monde, à savoir qu’il est un ingénieur nucléaire iranien et que sa technologie, selon les dires de la CIA, devance la science actuelle de 2 à 3 siècles. Ainsi, ils veulent qu’il reste inconnu du grand public. Il a voulu intervenir, à l’invitation de différents scientifiques américains, au niveau de la catastrophe de BP – Golfe du Mexique. Lors de son voyage, il fait escale à Toronto, Canada, où on l’arrête et où il a été emprisonné pendant 11 jours. Il y a été questionné pendant 4 jours d’affilés au rythme de 18 à 20 heures par jour et cela sans raisons valables. La politique américaine ne voulait pas qu’un Iranien réussisse à résoudre le problème au Golfe du Mexique. Il en est de même pour la catastrophe de Fukushima au Japon. Deux heures après la catastrophe, à 5 heures du matin en Belgique, il téléphone à l’ambassade du Japon pour offrir ses services. Deux jours après, il reçoit le message qu’il ne peut pas intervenir … sur ordre des Etats-Unis, car il est impensable qu’un scientifique iranien soit plus avancé qu’un scientifique américain ou japonais. Cela serait une honte. Son site Web reçoit jusqu’à 1 millions de visites par jour. Des scientifiques, instituts, universités, organisations à travers le monde entier le visitent chaque jour à plusieurs reprises. Parmi les visiteurs se trouvent le top de la NASA, de l’organisation aérospatiale russe, etc. … et d’autre par, pour le nuire, plusieurs personnages ont été engagé pour critiquer ses démarches (les fameux scams). Cela n’empêche que son site (en anglais) est déjà traduit en coréen, en chinois, en iranien, etc.… tellement qu’il est apprécié par les La technologie de pointe au profit de l’humanité Page 2 - 02/01/2012 savants du monde entier. Des professeurs étrangers lui demandent son parafe sur leurs documents traduits. Mais le grand public ne le connaît pas. Il n’a pas accès aux média, ni à la presse. Ce n’est que çà et là que l’on arrive à faire passer un article dans une revue moins connue du public.

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