Étude et l’information sur les programmes d’interventions climatiques et atmosphériques
En tant que membres de l’Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Intervention Climatiques et Atmosphériques (ACSEIPICA) et de la Dissidence Française, j’ attire votre attention sur le sujet ci-dessus mentionné, et vous apporte les informations issues de nos observations et recherches sur ce phénomène, de plus en plus préoccupant.
Bon nombre d’entre vous ont déjà reçu individuellement des dossiers émanant de citoyens de toute la France et de membres de notre association. Aujourd’hui, c’est à l’ensemble des Députés, Eurodéputés français et des Sénateurs que nous nous adressons : en dépit du déni des instances officielles jusqu’à présent, nous vous prions de vous pencher sur ce problème et de bien vouloir constituer une Commission d’Etude Parlementaire à ce sujet.
Permettez-nous de vous faire part des observations et témoignages émanant de nos adhérents et sympathisants de toutes les régions de France, depuis 2002. Nous formons un réseau de citoyens sur l’ensemble du territoire, réunis par l’observation, l’indignation, le questionnement et l’inquiétude devant ces traînées longues qui peuvent rayer le ciel d’un bout à l’autre de l’horizon, larges, épaisses, émises par des avions qui volent en escadrilles ou se succèdent sans cesse et dessinent des quadrillages, des croix, des ronds et autres formes insolites qui défigurent le ciel. La fréquence de ces manèges est totalement aléatoire mais ils se produisent simultanément au-dessus de tous lieux de France, sinon d’un quart ou d’une moitié du territoire national, et très fréquemment (quasiment tous les jours), ce qui exclut l’hypothèse, parfois avancée comme justification, qu’il puisse s’agir de vidange des fonds de réservoirs, ce qui est un phénomène bien distinct.
Première constatation: l’apparence des traînées d’avions a beaucoup changé, et ceci subitement, à partir des années 2000-2002, selon les régions. Jusqu’en l’an 2000, nous voyions les traînées de condensation d’avions, courtes, fines, émises en haute altitude, s’évaporer rapidement et cela ne nous a jamais paru anormal, ni inquiétant. En revanche, ce que nous voyons depuis 2002 dépasse la logique.
Deuxième constatation: le trafic civil a certes augmenté, comme l’attestent les bilans des derniers Salons du Bourget, mais cette augmentation n’est pas en rapport avec l’intense circulation aérienne que l’on constate parfois en tous sens depuis dix ans, en-dessous des couloirs civils. Nous avons affaire, en grande partie, comme représenté sur les images ci-jointes, à des traînées émises aussi par des avions militaires. Leur taille apparente permet d’évaluer leur altitude : ils sont de toute évidence en-dessous de 8.000 mètres. Or, et ceci depuis l’an 2000, les avions civils sont tenus de voler au-dessus de cette altitude (auparavant 4.000 mètres).
Dans les campagnes, on entend leur bourdonnement quasi incessant, que le ciel soit couvert ou dégagé, ce qui, outre leur nombre, trahit également leur faible altitude. Aux jumelles ou au télescope, leur couleur, le plus souvent noire ou kaki ne fait aucun doute quant à leur fonction et l’on peut même distinguer sur certains la marque de l’OTAN. Officiellement, cette circulation n’existe pas puisque, lorsque nous interpellons les pouvoirs publics, la Direction Générale de l’Aviation Civile et les services de météorologie, les réponses que nous obtenons ne concernent que la condensation des gaz issus des moteurs des avions de ligne ou les épandages agricoles – préoccupants eux aussi 3. Ces phénomènes-là sont complètement étrangers aux faits que nous évoquons sur la base de nos observations quotidiennes.
En réponse à nos questions, ces mêmes institutions prétendent que de la condensation à basse ou moyenne altitude est maintenant possible et émanerait des avions de ligne alors que les avions dont nous parlons ici (militaires) sont au-dessous de 8.000 mètres et qu’il n’y a aucune raison pour que cela soit apparu du jour au lendemain. S’il n’y avait que les résidus d’un kérosène sans additif, ce n’est pas à cette altitude que devrait se produire le choc thermique justifiant la condensation. De plus, les avions qui émettent ces traînées le font par les ailes et non par les réacteurs !
Des témoignages de pilotes militaires recueillis parmi nos proches confirment cette réalité : ces manœuvres ont porté le nom de « guerre non-conventionnelle » au début des années 2000. Nous ne savons pas s’il en est toujours ainsi : selon d’autres témoignages plus récents, les pilotes qui effectuent ces épandages sont convaincus de mener une mission utile concernant le «réchauffement climatique », ce que nous discuterons ci-après.
Troisième constatation : l’apparence du ciel a, elle aussi, beaucoup changé, subitement à partir des années 2000-2002, selon les régions.
Ces traînées s’effilochent en nuages fibreux ; quand le ciel est dégagé, il devient laiteux, nimbé d’un voile artificiel, persistant et blanchâtre.
Lorsqu’il y a des nuages, ceux issus de ces traînées s’y mêlent et produisent, en quelques heures, des sortes de tubulures gris-violet, plus ou moins foncées, voire noires, en longues strates parallèles à l’horizon; de nombreuses photos et vidéos sont disponibles à ce sujet. Bon nombre de ces traînées salissent durablement le ciel et affectent la couleur des nuages. C’est au moment des levers et des couchers du Soleil que cela est le plus flagrant, les couleurs étant fortement accentuées, dans des ciels bariolés comme on n’en voyait jamais au 20ème siècle.
De nouveaux types de nuages sont également apparus dans les nomenclatures de nuages éditées depuis l’an 2000 4… L’effet de ces épandages sur la météorologie locale est directement observable: par beau temps, le bleu profond du ciel est de plus en plus rare, et l’on perçoit que l’atmosphère est subitement plus chaude, plus lourde et plus éblouissante. Par ciel couvert, quand le baromètre remonte, les brouillards persistent de plus en plus longtemps. Ainsi, la chaleur est augmentée par beau temps et diminuée par mauvais temps. Nous observons également qu’après des pluies, le sol se dessèche beaucoup plus vite qu’à l’époque d’avant l’an 2000, où l’on ne voyait pas de tels épandages.
Quatrième constatation : Bien que la circulation entre 2.000 et 8.000 mètres ne soit effectivement pas du ressort de la DGAC, celle des avions de ligne, par contre lui incombe : or, nous avons constaté plusieurs anomalies au sujet de certains vols : nous avons observé, lors de récents voyages en avion, que d’autres avions en vue, laissaient des traînées bien longues ; qu’une couche opaque semblait persister aux alentours de 10.000 mètres, ce qui n’était pas le cas il y a quelques années ; que, de certains aéroports, des avions partaient ou arrivaient sans passager ; ou que des avions décollaient ou atterrissaient alors qu’aucun vol n’était annoncé. Nous avons également constaté que, à nombre égal de passagers transportés, le budget carburant des compagnies «low cost», était quatre fois moindre que celui des compagnies classiques. Le prix du kérosène n’est-il pas le même pour tous ? Cela nous pose question.
Etudes de référence et informations officielles
Sur ce problème, censé ne pas exister, les rapports officiels assimilent délibérément toutes les sortes de traînées d’avions à des «contrails ».
Cependant une étude d’experts professionnels en aéronautique, le rapport Case Orange 5, établit sans ambiguïté, que les «chemtrails» se distinguent nettement de ce qu’on appelle les «contrails» (les traces normales de condensation laissées par les avions circulant à haute altitude, supérieures à 8.000 m, fines, courtes et qui disparaissent rapidement); ce rapport confirme ce que nous observons et fait état :
• de la circulation d’avions militaires à des altitudes bien inférieures qui produisent les traînées particulièrement suspectes que nous venons de décrire. Le rapport analyse finement les traînées de condensation émises par les avions militaires: leur carburant est moins raffiné que celui des avions civils et peut donc occasionner davantage de condensation et à des altitudes moindres. Cette distinction est d’autant mieux mise en évidence que les quadrillages et autres tracés auxquels nous assistons ne sont pas justifiables par ce fait.
• de traînées émises par des avions civils, au-dessus de 8.000 mètres, lesquelles contiennent des produits qui, ajoutés au carburant, peuvent être brassés dans la haute atmosphère jusqu’à quatre ans avant de retomber au sol.
On nous parle du réchauffement planétaire dû au CO2. Nous observons pourtant en premier lieu, depuis 2002, l’influence réchauffante et asséchante de ces épandages sur notre météorologie locale ; or de cela, il n’est jamais question. Tout au plus voit-on des études sur l’assombrissement du ciel dont la cause est attribuée à l’augmentation dans l’atmosphère du taux moyen d’aérosols issus entre autres des résidus de condensation des avions, lesquels provoquent la formation de nuages ou de voiles nuageux et ont pour effet de diminuer le rayonnement solaire au sol et d’entraîner par là même un rafraîchissement des basses couches atmosphériques.
On en déduit donc officiellement que les traînées d’avions – ces « contrails persistants » ainsi pudiquement désignés, ont un effet refroidissant sur le climat. C’est ce que prévoit cette nouvelle techno-science, la « Géoingénierie », de l’anglais « Geoengineering », terme apparu dans le vocabulaire depuis une dizaine d’années, qui a pour objet de modifier l’environnement à l’échelle planétaire.
« Chemtrails
» de l’anglais « chemical trails », ce qui signifie : trainées d’avions
chimiques (issues d’épandages aériens de produits chimiques). Une vidéo tout
récemment publiée sur YouTube révèle l’existence d’un cours sur les
«chemtrails», ainsi nommés, à l’US Air Force Academy en 1990 :http://www.ctbusters.com/home/? p=1366&preview=true
Des nuages
comme « cirrus fibratus », « cirrus uncinus», … n’existent, dans le ciel, et
dans les nomenclatures de nuages, que depuis l’an 2000. Voir :http://www.futura-sciences.com/fr/doc/t/climatologie/d/nuages-en-tout-genre- comment-les-differencier_545/c3/221/p6/
Le rapport
Case Orange, présenté le 29 mai 2010 à Gand (Belgique) lors du premier
symposium international du Bel- fort Group pour la vérité sur les épandages
aériens – Version intégrale en anglais :http://www.scribd.com/doc/35636874/Case-Orange-Chemtrails-BelfortGroup-pdf ouhttp://rockastres.org/IMG/pdf/Case_Orange_-_Belfort_Group_VO.pdf
La
Géo-ingénierie – Gestion du rayonnement solaire expliquée en 10 minutes ! –
Extrait du documentaire « Playing God With Planet Earth » :http://www.dailymotion.com/video/xjvl9e_la-geo-ingenierie-expliquee-en-10-minutes_news
Les brevets
sur la modification du climat et l’épandage de matériaux dans l’atmosphère :http://www.chemtrails-france.com/brevets/index.htm
Modifications
climatiques : http://fr.wikipedia.org/wiki/Stormfury
Convention
ENMOD en français : http://www.icrc.org/dih.nsf/FULL/460?OpenDocument – texte intégral en anglais :http://www.icrc.org/ihl.nsf/FULL/460?OpenDocument
CDB – Nagoya
– Oct 2010 – Géoingéniérie – Moratoire :http://www.iisd.ca/vol09/enb09544f.html (paragraphe « la biodiversité et les changements climatiques – la
géoingéniérie ») ethttp://www.cbd.int/abs/background/ Signataires
:http://www.cbd.int/abs/nagoya-protocol/signatories/
David Keith –
New York – Sept 2007 – L’utilisation de soufre et d’aluminium dans l’atmosphère
est ouvertement discutée ! http://www.youtube.com/watch?v=dVn1sdo_TMA & feature=channel_video_title David Keith – Standford University – Solar Geoengineering to
Manage Climate – 31/01/2011 :https://www.youtube.com/watch?v=zt5yR9dYV64 & feature=channel_video_title
Ken
Caldeira : http://www.youtube.com/watch?v=xF11lMvAqXU
American
Association for the Advancement of Science – (AAAS) Researchers Discuss
Understudied Geoengineering Approaches to Climate Change :http://www.aaas.org/news/releases/2011/0505geoengineering.shtmlhttp://vivo.aaas.org/vivisimo/cgi-bin/query-meta?input-form=simple & query=geoengineering & v%3Aproject=aaas- website
L’ETC
Group : http://www.etcgroup.org/en/archives Son
histoire :http://www.etcgroup.org/en/about/History_of_etcgroup_page
Vitamine D
: La vitamine D joue un rôle capital dans la croissance, l’ossification,
l’immunité, et la protection contre certains cancers ; plus de 90% des besoins
en vitamine D sont issus de l’exposition habituelle au soleil :http://www.anamacap.fr/telechargement/alimentation/vitamined2.pdf
Parlement
Européen – HAARP – Extraits essentiels : Résolution sur l’environnement, la
sécurité et la politique étrangère: stratégie en vue de l’utilisation de
ressources militaires à des fins environnementales – 14 Janvier 1999 :http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-%2F%2FEP%2F%2FNONSGML+REPORT+A4-1999- 0005+0+DOC+PDF+V0%2F%2FFR
L’association
scientifique EISCAT (European Incoherent Scatter Scientific Association) Site
officiel d’EISCAT: http://www.eiscat.se/about/whatiseiscatEISCAT’s ionospheric Heating facility (including Dynasonde)
:http://e7.eiscat.se/about/info/heating/ L’association scientifique EISCAT (European Incoherent Scatter
Scientific Association) :http://fr.wikipedia.org/wiki/EISCAT
Issu de notre
propre recherche.
An Updated
Look at Aerosol Toxins – Dr. Ilya Sandra Perlingieri :http://carnicom.com/carnicominstitute/perlingieri.html
Lettre
adressée à la DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile)http://acseipica.blogspot.com/p/lettres-officielles.htmlhttp://rockastres.org/spip.php?article69
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