FRANCESCA, LA NOUVELLE SECRÉTAIRE DU PAPE

Ses poses glamour, son physique de star et ses tweets acerbes font jaser. Poser topless n'arrange évidemment pas les choses. Francesca Chaouiqui, la nouvelle collaboratrice du pape François défrise le Vatican.
Ainsi soit-il. Le nouveau souverain pontife ne fait décidément rien comme ses prédécesseurs. De fait, lorsqu'il s'agit de bien s'entourer, le pape François choisi des personnalités extravagantes qui ne plaisent pas à tout le monde.
En deux millénaires, le Vatican n'avait jamais vu une conseillère du pape poser sein nus sur Internet. La nouvelle venue bouscule les codes : elle s'appelle Francesca Chaouiqui et met un point d'honneur à se différencier. Agée de seulement trente ans, elle vient d'être nommée par Sa Sainteté membre de l'importante commission chargée des scandales fiscaux du Vatican.
Seule femme à bord, cette avocate et consultante en relations publiques va se charger de faire le ménage dans la bureaucratie du Saint-Siège, entachée de scandales liés, entre autres, à la corruption et à la pédophilie et que le pape François lui-même qualifie de "fosse aux serpents".
Peu après sa nomination qui en a irrité plus d'un, toutes sortes de faits embarrassants ont refait surface, notamment ce diaporama (photo ci-dessous) mis en ligne sur Youtube comprenant une photo d'elle seins-nus dans les bras de son mari.
Pour ne rien arranger, une série de tweets diffusés via son compte Twitter resurgissent : un an auparavant, Francesca Chaouiqui avait dénoncé noir sur blanc la corruption du cardinal Tarcisio Bertone, et par conséquent l'innocence de Paolo Gabriele, ancien majordome de Benoit XVI qui a été licencié de Vatileaks pour vol et fuite. Accusation que Bertone réfute. Il prévoit une action en justice pour diffamation. "Francesca n'a nullement à avoir honte ; elle s'est bornée à critiquer Bertone. Il est bon que le Pape ait choisi une jeune femme ; elle aidera à examiner la manière dont sont établis les contrats de travail, par exemple, et cela irrite la Curie", l'a défendue Gianluigi Nuzzi, auteur du livre Sa Sainteté – Scandale au Vatican.
En guise de réponse, la jeune femme s'est simplement appliquée à fermer son compte Twitter. D'après le Corriere della Sera, elle affirme ne pas avoir été la seule à utiliser ce compte et a nié être l'auteure des tweets. "Je ne suis pas inquiète, parce que le Saint-Père n'est pas inquiet", déclare-t-elle. Amen.
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