lundi 1 juillet 2013

CODEX PLEIADIEN



25. La loi de l’Incomplétude

A moins que toutes les parties reviennent au Tout, rien n’est complet. Il n’y a complétude qu’en relation avec le moment suivant et cela ne peut se faire que dans le moment présent.


Tout et n’importe quel problème émotionnel est lié au manque de compréhension de la Loi de l’Incomplétude.

S’il y a une loi qui réglemente l’Incomplétude et qui dit que les choses ne sont que relativement complètes, par rapport au moment suivant, il n’y a pas de raison de considérer une sensation comme un problème !

Que dit cette loi? Que rien n’est complet.
Que dit cette loi? Que les choses ne peuvent être complètes à moins que toutes les parties ne retournent au Tout.

Rien n’est complet. La notion de quelque chose de complet est seulement dans le maintenant.
Maintenant, «cet être et celui-ci» sont ensemble et paraissent être ce que vous appelez un couple. Ils ne l’étaient pas dans le moment antérieur et ne le seront pas dans un prochain moment dans cette ligne temporelle de cette dimension. C’est une illusion, c’est une sensation que cela est complet. Cela ne se réfère qu’à ce moment.

La sensation que vous cherchez – que nous cherchons, nous nous incluons là-dedans – est la sensation du Tout Universel. Toutes les parties individualisées dans le Tout. Il n’y a pas à chercher de bonheur, de joie ou de satisfaction, lorsque le but est de maintenir la sensation d’être complet.

Lorsque vous finissez de vous nourrir, vous sentez-vous satisfaits? Il vous semble que votre organisme est complet? Mais c’est assez, pour combien de temps?

Biologiquement les êtres de ce temps et de cette dimension, dès qu’ils commencent à avaler leur nourriture, ils commencent à l’éliminer. Les choses ne sont complètes à aucun niveau. Elles ne sont complètes qu’au moment précis où elles se produisent. Ou à un niveau cosmique, lorsque toutes les parties retournent à la Source.
A tous les niveaux où vous utilisez ce concept de la loi de l’Incomplétude, le bonheur, la satisfaction sont des choses passagères. Mais par rapport à toutes vos actions: vous êtes-vous assez reposés biologiquement? Vous êtes-vous reposés jusqu’à ce moment. Cela ne peut être vu qu’à la lumière du maintenant. Il n’y a rien dans quoi vous mettez vos énergies qui puisse être complété par vos actions. Cela causera toujours de l’insatisfaction, car il est impossible que quelque chose soit complet, sauf à ce moment exact où cela a été terminé ou accompli.
«Parfait» peut être considéré selon le même concept que complet. Si la perfection a une relation avec la plénitude, elle peut rester parfaite, mais ce sera toujours par rapport au moment suivant, bien qu’il n’y ait pas de temps écoulé entre les deux.

Ce Codex est transmis pour que vous compreniez bien les lois de la troisième dimension, car ces mêmes lois servent à la cinquième dimension. Cependant, vous êtes à un stade intermédiaire et y resterez ces prochaines 13000 années. Après cette phase, vous resterez uniquement dans la cinquième dimension et n’aurez plus accès à la troisième et ne serez plus régis par les lois du temps et de l’espace.
Nous ne sommes qu’au point de contact avec la cinquième dimension et ne sommes pas régis par les aspects temporels et les aspects de la troisième. Ces mêmes lois continuent de s’appliquer à la cinquième dimension et nous en avons d’autres qui réglementent ou ajustent toutes celles-là, dans ce qui a rapport au temps et à l’espace.

Les principes sont les mêmes. Ne pas avoir de temps et d’espace ne signifie pas y avoir accès. Cela signifie les contempler sous une forme différente. Nous n’avons plus la linéarité du temps ni le besoin de l’espace. Pour cela même, dans un sens, nous l’utilisons plus que vous, qui le subissez. Nous ne sommes pas soumis à la loi du Temps, nous pouvons aller en avant ou en arrière ; nous n’avons pas une chaîne de maillons appelés jours, ou mois, ou années, ou encore Cycles. Nous ne marchons pas sur une ligne, mais sur des piles d’informations.
Il vous faudra 13000 années pour atteindre ce potentiel, mais vous ferez une adaptation, tout comme l’a fait notre civilisation, entre ces deux dimensions.

V. A partir des lois qui régissent l’énergie des individus, des situations, des émotions et des interrelations nées du Soi


26. La loi de l’Expansion

Tout est plus qu’il n’était, à un autre niveau. Tout aspect, idée, action ou sentiment, à un autre niveau, est un aspect de plus par rapport au niveau précédent.


La loi de l’expansion dit que tout est plus qu’il n’était à un autre niveau.
Ainsi, vos corps physiques, à un autre niveau sont plus, plus quoi? Quelque chose de plus que ce qu’ils étaient, peut-être plus subtils, peut-être avec plus d’espace, peut-être avec plus d’énergie.
Tout est plus à un autre niveau.
Ainsi, n’importe quel aspect, idée, action, sentiment, est plus, certains aspects de plus, par rapport au niveau précédent.
 
27. La loi du Libre Arbitre

Tout être, toute forme d’individualité, a la capacité de diriger son existence, à condition qu’il ne viole pas ce même droit à l’action qu’un autre être exerce au même moment. Le libre arbitre est lié à chaque petite action et non à toutes.


La loi du Libre Arbitre détermine que toute existence – par existence nous entendons l’individualisation de la Source – peut diriger sa propre existence aussi longtemps qu’elle ne viole pas les droits d’autrui.

Ainsi, ceci inclut les choix et les possibilités, mais un choisissant une possibilité, on ne peut pas refuser ce droit, cette possibilité, à un autre individu.
Le «même» droit. Concernant les choses du même groupe.
Le libre arbitre n’est pas indistinct et sans discrimination. Il n’est valable que pour les choses du même groupe.

Lors du cycle précédent, vous avez beaucoup compliqué le concept de libre arbitre.
Tout être, toute forme d’individualité, a la possibilité de diriger son existence, à condition qu’il ne viole pas le même droit d’action exercé à ce même moment par un autre être. Seulement ce droit-là.
Le libre arbitre est lié à chaque petite action et non pas à toutes. Votre droit de vous nourrir commence là où s’arrête le droit de l’autre de se nourrir. Votre droit de marcher s’arrête là où commence le droit de marcher de l’autre. Pas le droit de se nourrir.
Le libre arbitre, dans le concept de «votre droit se termine là où commence le droit d’un autre» exigerait beaucoup d’individualités! Il est impossible de faire face à tous les aspects simultanément. On peut être conscient de ce qui se fait au même moment et respecter le droit de l’autre à exercer le même aspect.

Nous aimerions que vous prêtiez beaucoup d’attention à cela, parce que cela va à l’encontre de certains concepts qui ont été largement diffusés à cette époque et dans cette dimension.

Si une personne désire se nourrir et c’est son droit de le faire, elle peut diriger ses énergies vers cela. D’un autre côté, un autre individu a l’élément de nutrition dans ses mains et n’a pas l’intention de l’utiliser …

Est-ce juste que la personne qui désire se nourrir prenne la nourriture de l’autre?

Nous parlons de nourrir, nourrir.

L’un a l’élément de nutrition, mais jamais ne l’utilisera, il ne fait que le détenir et le conserver. L’autre veut se nourrir et dirige ses actions dans ce but. Est-ce que le second pourrait prendre l’élément du premier sans commettre ce qu’on appelle un «délit»?

Sur la base de la loi, oui!

Ainsi cette question, tout comme la question de la collectivité, et d’autres lois qui régissent la vie sociale, doivent être transmises avec prudence.

Ce sont des aspect différents, qui ne seront pas compris comme cela «d’un jour à l’autre», qui exigent beaucoup d’habilité et d’évolution pour être compris.

Rappelez-vous des autres lois qui sont derrière cela. La loi du Libre Arbitre est une loi qui ne peut être considérée isolément. Il y a des lois qui ont déjà été abordées, qui parlent de la nécessité de tenir compte des besoins de l’autre et de proportionner ses besoins.

Ces thèmes que vous appelez délits, ou erreurs, ou péchés, sont tous liés avec le fait de ne pas être conscient des besoins de l’autre. Si lui n’a pas besoin d’une certaine chose dont l’autre a besoin, qu’elle lui soit donnée. Pas besoin de la lui prendre.

Besoin et participation. La loi du Collectif.

Un individu ne respecterait pas le libre arbitre de l’autre, si deux d’entre eux souhaitaient se nourrir en même temps avec la même intensité, et avaient la même participation dans la production de cet aliment, ou dans le travail n’énergie d’échange, et que l’un prendrait à l’autre. Alors oui, il y aurait un manque de respect pour le choix et le libre arbitre de l’autre. Comprenez que ce concept est relié à tous les autres.

Dans la pure cinquième dimension, il n’y a plus la notion du libre arbitre. Obligatoirement nous donnons, obligatoirement nous recevons. Nous ne pouvons plus choisir si nous voulons partager ou non. Cependant, il y aura une phase de transition où vous aurez besoin d’apprendre à utiliser cette loi pour le bénéfice de la communauté, sans renoncer à votre individualité et celle de l’autre, et sans avoir l’impression d’être volés ou dépouillés de ce que vous avez.
Attention lorsque vous exposez ou transcrivez le concept du libre arbitre, parce qu’au lieu de faciliter les relations sociales, il peut donner la possibilité à l’un de prendre les choses de l’autre en estimant qu’il en a plus besoin que l’autre. Il ne s’agit pas de cela.

Traduction:Vinod (Collaboration Prismus)
 

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