mercredi 25 décembre 2013

EN FRANCE, C'EST 2 POIDS, 2 MESURES


« La France ne peut être la France sans la grandeur » écrit le général De Gaulle dans ses Mémoires de Guerre. Il me semble donc, à l’aube de 2014, que la France n’est plus. Mais qu’est-elle donc devenue ? Elle est diverse. Elle est cette élite issue d’une communauté organisée particulière qui impose ses idées, ses intérêts, allant souvent à l’encontre des intérêts du petit peuple de France. Elle est ce jeune, plus ou moins aisé et «éduqué » suivant les préceptes de la « bienséance », qui se sent protestataire et marginal en regardant Le Petit Journal de Yann Barthès sur Canal Plus, et qui, comme tant d’autres, s’est vu affublé d’un déterminisme de détestation de la race française qu’il regarde de haut comme ignorante et raciste. Elle est cet arabe ou ce noir de banlieue, qui la « nique », la « baise » en écoutant du Booba ou du La Fouine, cette victime tantôt racaille à nettoyer au karcher, tantôt meurtrier islamiste. Elle est ce raciste, tout ignorant, qui vote le Front National de l’OAS et des nazis. Elle est aussi, et surtout, malgré l’image que lui assignent les médias et les livres d’histoire, un peuple de politiciens avérés, qui ont porté en eux l’exception mondiale dans les périodes les plus sombres comme les plus éclairées, toujours à la marge du conformisme internationale. Mais pourquoi la France n’est elle plus que l’ombre d’elle même ?La communauté sioniste.La communauté sioniste, contrairement à ce que laisseraient penser les médias et les institutions dites antiracistes, est une communauté essentiellement composée de juifs, mais n’est pas la communauté juive en son intégralité, et n’en représente qu’une parcelle. Elle est incarnée par le CRIF (Conseil Représentatif des Institutions juives de France), par des Bernard-Henri Levy et des Alain Finkielkraut. Pourquoi cette communauté juive organisée, et non la communauté antillaise de France ? Car ce lobby, dans sa toute puissance, est à la tête de la politique, de l’économie, et des médias français (ce qui, en soi, n’est pas un problème), et promulgue des idées, « vérités incontestables », et des lois, qui vont à l’encontre des valeurs et des intérêts de la République (ce qui est le problème). Celles-ci tendent plutôt à conforter l’idéologie sioniste, et la politique d’Israël. Ce qui est énoncé ci-dessus se caractérise notamment par les déclarations d’Alain Finkielkraut envers la France, et qui n’ont en aucun cas été contesté, ou n’ont eu de mauvaises publicités dans les médias : « Ce pays mérite notre haine ». Mais aussi, nous pouvons témoigner du rôle décisif de Bernard-Henri Levy, un simple « philosophe », dans les bombardements français en Libye, tout en affirmant que tout cela est « bon pour Israël » (cf. 1-lien en bas d’article). Sans oublier ce diner « incontournable » pour les grands ténors de la politique française, le diner du CRIF, où les uns viennent rendre des comptes en parlant du « miracle » israélien, et les autres qui viennent donner leurs consignes (cf. 2-lien en bas d’article).
Ainsi, en France, le pouvoir est tenu par une élite qui sert ses intérêts et des intérêts étrangers, aux dépens de la France réelle dont les droits et libertés ne sont que des illusions. Une dictature de la toute puissance sioniste qui introduit un système de deux poids, deux mesures, où l’on permet l’avis islamophobe ostentatoire comme faisant gage de liberté d’expression, mais où l’on lynche les propos hostiles à une politique d’un Etat étranger, en l’occurrence Israël.Une éducation nationale (volontairement ?) lacunaire.Afin d’asseoir sa puissance à long terme, l’élite décrite ci-dessus se doit de conditionner les jeunes esprits à accepter leur sort de soumis au système d’annihilation de la grandeur et de l’exception française (symbolisée notamment par l’entrée de la France à l’OTAN). Pour cela, la communauté juive organisée, qui diverge totalement de la communauté juive du quotidien, se sert d’un épisode bien particulier de l’Histoire de France : la Seconde Guerre Mondiale. Alors que l’esclavage ne constitue pas un chapitre dans tout les cursus d’écolier, de collégien, et de lycéen, tout élève de l’éducation nationale française aura au moins abordé trois fois la seconde guerre mondiale, s’il termine ses études évidemment (cf. 3-lien en bas d’article). Bien qu’il soit incontestable que cette épisode appartienne au programme d’Histoire de l’éducation nationale, son enseignement semble néanmoins problématique. En effet, on présente bien souvent le français moyen comme un collaborateur, délateur et lâche, signant l’armistice au lieu de vaillamment se battre contre l’ennemi nazi. Néanmoins, lorsqu’on prend le régime de Vichy mené par le Maréchal Pétain, il est important d’avoir le sens de la nuance et de mentionner l’impossibilité pour Pétain, un ancien héros de guerre, de vaincre l’armée d’Hitler. Les américains ne souhaitaient pas intervenir, et il n’y avait que le Luxembourg et la Belgique qui séparait l’Allemagne de la France, et non la Manche. Ainsi, Pétain était face à un dilemme décisif : se battre, et voir la population massacrée et les terres rasées par les nazis, ou bien se rendre et sauver le plus d’âmes et de terrain possibles. N’importe quel chef d’Etat digne de ce nom, fidèle à sa patrie, aurait choisi la seconde solution dans une situation similaire. Certains diront qu’il y a eu une résistance féroce, et que c’était une troisième alternative que j’omets, mais est ce qu’il aurait été possible de résister de la manière entreprise par Jean Moulin si il n’avait pas régné en France un calme relatif ?
De plus, les livres d’histoire de l’éducation nationale ne mentionnent pas l’implication des juifs français dans la collaboration. C’est notamment l’UGIF, ancêtre du désormais tout-puissant CRIF, qui, en relation directe avec la Gestapo allemande, a aidé à l’élaboration des listes des personnes à déporter en France, sacrifiant les juifs étrangers réfugiés en France, aux profits des juifs français (cf. 4-lien en bas d’article + Des Juifs dans la collaboration De Maurice Rajsfus). Tout cela, bien que dictant une toute autre histoire de la France durant cette période, est « omis » par les éditions Gallimard.Le chantage à la shoah.Par ailleurs, en France, pays des droits de l’homme, la shoah reçoit un traitement spécial qui permet aux élites de poursuivre quiconque veuille contester les allégations officielles. C’est la loi Gayssot, qui sous un masque républicain interdit le négationnisme. Cette loi fait tout aussi preuve d’un deux poids deux mesures flagrant, puisque la Ligue de Défense Juive est une organisation violente et criminelle qui réfute l’existence même du peuple palestinien mais qui jouit de la protection policière et des locaux des ministères français (cf. 5 et 6 – Liens en bas d’article). De même, elle va à l’encontre des libertés individuelles, puisqu’elle empêche une interprétation de l’histoire qui, bien que douteuse, est une interprétation comme une autre. La liberté, c’est aussi le droit d’être con. De plus, sans réfuter l’indéniable horreur de l’holocauste subi par le peuple juif, la communauté organisée de France utilise ce passé douloureux afin de soumettre quiconque voudrait critiquer les actions du CRIF, ou la politique israélienne, faisant un lien direct avec l’antisémitisme. Rappelons l’humoriste Dieudonné, un activiste antiraciste, qui après un sketch représentant un colon israélien en 2003, s’est vu attaqué en justice par 22 procès (la plupart qu’il a gagné), et comparé à Jean-Marie Le Pen. Ils ont peut-être le même nez…Un bipartisme forcé. La France, bien que démocratique sur la forme, pêche aujourd’hui sur le fondement démocratique de sa République. Une démocratie ne peut être démocratie que si elle offre une réelle alternative au pouvoir en place. Alors qu’une trentaine d’années plus tôt, les partis devaient se faire une place en jouant des épaules, aujourd’hui un bipartisme est durablement implanté, et PS et UMP mène la danse politique. Entre eux, il n’y a pas réellement de grandes différences : fidèles à l’Union Européenne, fidèles à Israël, fidèles au système bancaire mondial, et bien sûr, tous deux présents au diner du CRIF et se serrant la main cordialement. La seule différence réside dans des mesures sociétales, comme le mariage pour tous, que l’on met de l’avant afin de distinguer PS d’UMP, puisque les fraudes et les allégeances sont communes aux deux partis.Des médias représentants de l’élite.Les médias français jouent un rôle important dans la propagande du pouvoir. En effet, si l’on analyse comme le fait Noam Chomsky (cf. Manufacturing Consent) les couvertures médiatiques pour deux évènements similaires, on remarque que le système de deux poids deux mesures est aussi bien infiltré dans les médias. Nous allons utiliser trois exemples, un relevant de politique étrangère, et deux de politique intérieure. Tout d’abord, voyons la couverture médiatique quant aux utilisations des armes chimiques. Lorsque Bachar Al Assad utilise des armes chimiques, la France, sous l’égide de Bernard Henri Levy est prête à bombarder tout ce qui bouge autour de Damas, tandis que lorsque Israël lâche du phosphore blanc sur Gaza, la politique française regarde ailleurs. De même, en ce qui concerne la politique intérieure, l’affaire d’Ilan Halimi, ce jeune juif assassiné par le gang des barbares a fait la une des journaux, et a suscité l’horreur de l’Elysée, faisant pression sur le procès afin que soient jugés justement les criminels, avec des peines exemplaires allant jusqu’à la perpétuité. Tandis que lorsque un père de famille arabe du nom de Saïd Bourarach est tabassé puis jeté dans un canal par un groupe d’individus affiliés à la Ligue de Défense Juive, l’événement est tout juste mentionné par les médias, et les agresseurs sont libérés au bout de six mois de détention. Nous pouvons ajouter à cela une comparaison entre la position médiatique quant aux caricatures du prophète Mahomet, et celle face au sketch du colon israélien de Dieudonné. D’un coté, la liberté d’expression est « inviolable », de l’autre, il faut éviter de heurter les sensibilités. (Cf. 7- lien en bas d’article)Et le citoyen dans tout ça ? Le français moyen se retrouve aujourd’hui victime d’une soumission tant implicite qu’explicite, qui joue de sa vie comme l’on joue aux dés. Il se retrouve perdu dans un labyrinthe de politiques le pénalisant, faisant de lui un otage lorsqu’il voyage en Afrique, un raciste lorsqu’il est dans son territoire, et un sale immigré lorsque ses parents ont un accent prononcé. Par exemple, en raison de l’hostilité israélienne envers l’Iran, il a été interdit à l’entreprise automobile Peugeot de continuer ses affaires au sein de la république islamique, bien que le marché iranien constituait le deuxième marché de la compagnie. Cela a directement conduit au déclin d’une des importantes entreprises françaises, et au licenciement de quelques centaines d’ouvriers français (cf. 8- lien en bas d’article). De plus, une fracture sociale se crée de plus en plus entre ces français de différentes cultures. Plutôt que de s’assimiler les uns les autres, c’est à dire appliquer un système de tolérance de l’autre, les français, avec une petite poussette dans le dos provenant de leurs hommes politiques, se laissent aller à la peur de leur prochain, à la méfiance, et à la stigmatisation systématique. Cette fracture sociale applique un « diviser pour régner » qui finit par bénéficier aux élites qui ont la main sur l’Hexagone.Conclusion. C’est donc une France qui n’est plus ce qu’elle était, persécutant les citoyens s’opposant à une toute puissante élite sioniste, et servant les intérêts d’ailleurs, qui s’est érigé. On le voit aussi avec le pseudo-scandale de la quenelle relayée par les médias comme un salut nazi inversé, alors qu’elle ne symbolise que l’insoumission du français, un bras d’honneur à ceux qui n’en n’ont pas.
A la fin de cet article, certains se questionneront, béats, de la raison pour laquelle je me permets d’écrire un tel article sur la France. A ceux-là, je reprendrais les mots d’Henri de Bornier pour leur répondre que « tout homme a deux pays, le sien et puis la France ». C’est donc cette France que je déplore, une France qui autrefois se levait parmi les grands de ce monde et criait sa politique, pour sa terre, pour son peuple. Cette France qui n’a d’autre identité que l’exception.
http://oueldenness.wordpress.com/2013/12/18/france-deux-poids-deux-mesures/

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